- Beurp's
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Custom Cool utilisateur
Dans la superficialité habituelle et l'antagonisme maladroit qui animent les débats esthétiques sur ce forum, il ne passe pas une seule journée sans qu'un participant verrouille médiocrement la discussion avec des stupidités ou des lieux communs tels que : "Les goûts et les couleurs ça ne se discute pas", "Vous n'êtes pas dépositaires du bon goût", "c'est subjectif" ou plus vulgairement "vous êtes des éthylistes", "vous vous touchez la nouille". etc...
Puisque le bon goût fait l'objet d'un tel intérêt (ou tout du moins occupe une place aussi redondante dans les discussions). Il est grand temps d'en parler sérieusement.
Hélas, la chose est épineuse a définir et a appréhender. Le dogme platonicien de la beauté éternelle, ainsi que les critères académiques ont du plomb dans l'aile depuis des siècles.
Les absconses réflexions philosophiques sur le sujet (que les lénifiants et routiniers users profs de philo de province, ou pire de banlieue, vont sans doute venir étayer de leur verve analytique rébarbative, ou de leurs montages conceptuels assommants) n'ont jamais menées a rien, entre l'objectivité intellectuelle et la subjectivité sensible...blablabla et Tutti Frutti...
Mais une chose est certaine, inclusivement les gens qui font preuve de mauvais goût (c'est certainement ce qui crée des tensions, vu que c'est très rigolo a observer) ne s'en rendent absolument pas compte. Pour prendre une image qui va être claire pour chacun, on pourrait parler de syndrome Cindy Sanders.
Après, le mauvais goût est très protéiforme, pour prendre des exemples concrets censuré et censuré se rejoignent de façon assez cohérente sous cette appréciation.
Les mauvais goût, je pense peut surtout se caractériser sur des erreurs d'interlocuteurs (ou d'estimation de ses interlocuteurs) ou plus globalement, par des erreurs de perceptions souvent dues a une manifeste ignorance, ou a des lacunes culturelles qui dans les correspondances qui nous permettent de communiquer font défauts a certains. Le goût, c'est une conquête et donc une chose que se travaille...
Et au delà, de ces considérations sur le goût, il est surtout question ici de l'universalisation du jugement esthétique et donc de la faculté a pouvoir juger... Et il n'y a pas d'égalité ou de pluralité subjective qui tienne dans ce cadre. Les jugements ne se valent pas tous...sorry, c'est comme ça...
Sur ce, je vais aller cultiver mon bon goût en allant boire de l'alcool blanc dans une soirée éthyliquement très prometteuse...
Edit modération: (skynet) il était prévisible (et de très mauvais gout) que citer implicitement des pseudos d'users ne pouvait entrainer de leur part qu'un normal mécontentement. Sans doute une stratégie pour animer ce topic.
Puisque le bon goût fait l'objet d'un tel intérêt (ou tout du moins occupe une place aussi redondante dans les discussions). Il est grand temps d'en parler sérieusement.
Hélas, la chose est épineuse a définir et a appréhender. Le dogme platonicien de la beauté éternelle, ainsi que les critères académiques ont du plomb dans l'aile depuis des siècles.
Les absconses réflexions philosophiques sur le sujet (que les lénifiants et routiniers users profs de philo de province, ou pire de banlieue, vont sans doute venir étayer de leur verve analytique rébarbative, ou de leurs montages conceptuels assommants) n'ont jamais menées a rien, entre l'objectivité intellectuelle et la subjectivité sensible...blablabla et Tutti Frutti...
Mais une chose est certaine, inclusivement les gens qui font preuve de mauvais goût (c'est certainement ce qui crée des tensions, vu que c'est très rigolo a observer) ne s'en rendent absolument pas compte. Pour prendre une image qui va être claire pour chacun, on pourrait parler de syndrome Cindy Sanders.
Après, le mauvais goût est très protéiforme, pour prendre des exemples concrets censuré et censuré se rejoignent de façon assez cohérente sous cette appréciation.
Les mauvais goût, je pense peut surtout se caractériser sur des erreurs d'interlocuteurs (ou d'estimation de ses interlocuteurs) ou plus globalement, par des erreurs de perceptions souvent dues a une manifeste ignorance, ou a des lacunes culturelles qui dans les correspondances qui nous permettent de communiquer font défauts a certains. Le goût, c'est une conquête et donc une chose que se travaille...
Et au delà, de ces considérations sur le goût, il est surtout question ici de l'universalisation du jugement esthétique et donc de la faculté a pouvoir juger... Et il n'y a pas d'égalité ou de pluralité subjective qui tienne dans ce cadre. Les jugements ne se valent pas tous...sorry, c'est comme ça...
Sur ce, je vais aller cultiver mon bon goût en allant boire de l'alcool blanc dans une soirée éthyliquement très prometteuse...
Edit modération: (skynet) il était prévisible (et de très mauvais gout) que citer implicitement des pseudos d'users ne pouvait entrainer de leur part qu'un normal mécontentement. Sans doute une stratégie pour animer ce topic.
