Salut JJ. Il me semblait bien que j'avais raté kekchose - toutes mes confuses...
JumpingJack a écrit :
Redstein a écrit :
JJ : dirais-tu qu'il y a une bonne dose d'idéologie là'n'dans ?
Idéologie ? Non. Dépendance, oui. Et puis bien sûr, certains forcent le trait en se revendiquant de la caste des fumeurs, en réaction à tout ce tapage anti-tabac, mais c'est bien humain... très compréhensible.
J'avoue que j'ai du mal à comprendre qu'on soit fumeur et qu'on ne veuille pas désespérément arrêter...
...mais si je pense
single malt plutôt que
clope, alors tout s'éclaire
JumpingJack a écrit :
Si on te dit : "Quoi ? Tu écoutes du prog ? Mais c'est d'la merde !", ben toi tu vas te défendre en disant que non, c'est vraiment très bien, et aller écouter encore plus de prog avec tes potes qui aiment le prog, et fuck tous les autres.
Idéologie ou non ?
Tu sais bien que ta démonstration est biaisée : aux dernières nouvelles, le prog n'est pas cancérigène - et c'est la musique en général qui est une addiction (en tout cas chez moi).
Maintenant, si quelqu'un me sort ce genre de connerie (« c'est d'la merdeuh ! »), il va simplement prendre place dans ma (vaste) GCS (Galerie des crétins suffisants), et puis je n'y penserai plus.
Qu'il me dise qu'il n'aime pas, c'est bien sûr une tout autre histoire - m'enfin dans tous les cas, l'opinion d'autrui n'a pas d'incidence sur mes zenvies musicales.
Lutinvolant a écrit :
Redstein a écrit :
Je connais quelques personnes qui avaient arrêté, qui s'y sont remises suite à un
choc IKEA - et qui s'en mordent les doigts depuis...
Lutinvolant a écrit :
Le jury demande une explication sur le terme de choc Ikea...
Redstein a écrit :
Choc Ikea =
désencouplement*, bien sûr...
*...puis réencouplement tout aussi hâtif et inconsidéré.
Enorme ! Tiens tu le mérites :
Le Lutin "Nyarlathotep"
Hehehehehe... Le
Point Beigbeder
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Tiens, puisqu'on est partis sur Lovecraft - voici ce qui arrive quand on insulte le prog
(The Freshman, de P. J. Farmer - toujours aimé cette blague) :
Citation:
Desmond entered, passed through the main room over the worn carpet, and walked up two flights of bare-board steps. On the gray-white of a wall by the first landing someone had long ago written,
Yog-Sothoth Sucks. Many attempts had been made to wash it off, but it was evident that only paint could hide this insulting and dangerous sentiment. Yesterday a junior had told him that no one knew who had written it, but the night after it had appeared, a freshman had been found dead, hanging from a hook in a closet.
"The kid had mutilated himself terribly before he committed suicide," the junior had said. "I wasn't here then, but I understand that he was a mess. He'd done it with a razor and a hot iron. There was blood all over the place, his pecker and balls were on the table, arranged to form a T-cross, you know whose symbol that is, and he'd clawed out plaster on the wall, leaving a big bloody print. It didn't even look like a human hand had done it."
