Pareto a écrit :
En ce moment on régresse sur pas mal de points, limite on retourne au 19e siècle voire au Moyen-Age parfois.
Pas le bon timing pour ce débat j'imagine. Le sort des animaux les gens s'en foutent et c'est normal quelque part, la majorité de la population a des soucis plus importants à régler à l'heure actuelle.
En fait non ça ne stagne pas, il y a eu des évolutions législatives ces dernières années qui allaient dans le sens des demandes des défenseurs des animaux, comme le changement de statut, de "meuble" à "être doté de sensibilité".
On a l'impression que l'opinion publique ne change pas mais je crois que si, c'est lent mais au-delà de la question animale les scandales agro-alimentaires des dernières années font réfléchir les gens sur leur mode alimentaire et les produits qu'ils consomment. Et il faut être réaliste quand on commence à mettre le nez là-dedans (de la composition des produits, des questions de traçabilité, impact sur la santé et l'environnement, etc.) on finit par chercher des alternatives au "tout barbaque".
numero27 a écrit :
La première chose sur laquelle travailler c 'est la souffrance animale, qu'ils meurent c 'est une chose, qu'ils souffrent inutilement c'en est une autre.
Oui ça semble évident et c'est le nouvel angle d'attaque des spécistes, un peu à raison faut le reconnaître quand on a vu ce qui se passait dans certains abattoirs...