L'antispécisme est un humanisme

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Redstein a écrit :


C'est très difficile à intégrer culturellement, vu qu'on a toujours mangé de la viande, et que de surcroît on est conditionné par les agro-empoisonneurs pour en avaler à chaque repas, mais le fait est là : elle ne sert à rien !


Bof. Si on y va comme ça l'humanité non plus ne sert à rien (et ça aussi c'est difficile à intégrer culturellement).



:grosse fatigue:
Redstein
fabh a écrit :
Redstein a écrit :
Fabh, parler de religion, ce n'est pas un argument : juste une tentative de discréditer ton interlocuteur...

...qui t'évite bien de répondre sur le fond.


Si tu ne vois pas pourquoi j'utilise l'argument de la religion dans un argumentaire avec toi, alors c'est que tu es beaucoup plus terre à terre et premier degré que je le croyais. C'est qui est fort dommage.


Je vois très bien pourquoi : c'est le seul dont tu disposes.


ES125er : tu es bien plus subtil que ça d'habitude
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


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Invité
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Redstein a écrit :



ES125er : tu es bien plus subtil que ça d'habitude


Chuis fatigué; j'ai même pas essayé.

Sur le fond, je suis en fait plutôt avec toi: vu les pratiques courantes, si on peut se passer de viande (et poisson), allons-y. Ça va dans le bon sens.

Se débarrasser de l'humanité réglerait plus de problèmes d'un coup, ceci dit.
caribou71
Redstein a écrit :
caribou71 a écrit :
bien entendu que manger de la viande est nécessaire au niveau nutritionnel, on peut certes la remplacer, mais quand tu en manges, elle t'apporte du positif.

Tu vois le problème, c'est le côté tranché de ton avis.


Tranché, c'est le mot

On ne devient pas vg par hasard, hein : c'est précisément en comprenant que la viande n'apporte absolument rien de nécessaire (et pas mal de saloperies !) qu'on y renonce


C'est très difficile à intégrer culturellement, vu qu'on a toujours mangé de la viande, et que de surcroît on est conditionné par les agro-empoisonneurs pour en avaler à chaque repas, mais le fait est là : elle ne sert à rien !


On devient vegan en allant contre sa nature surtout, car manger de la viande / du poisson / des œufs EST inscrit dans notre évolution.

L'homme chasse depuis la nuit des temps, il ne se contente pas que de la cueillette.

Il tire profit du monde animal naturellement, étant prédateur lui-même.

Je trouve surtout que le problème des vegan est que la position qu'ils défendent est tellement extrême, que leur argumentaire suit cette logique.
fabh
  • fabh
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  • #1954
  • Publié par
    fabh
    le 29 Juin 2016, 17:09
Redstein a écrit :


Je vois très bien pourquoi : c'est le seul dont tu disposes.



Pfff, bon allé, j'abandonne. Ca en devient ridicule d'essayer de parler de quoi que ce soit avec toi.
Biosmog: "T'es franchement pathétique."
Redstein
TimeBomb a écrit :
Redstein a écrit :
Mais du coup, qu'avez-vous à répondre ?

Que la viande nous est nécessaire ?

Que les animaux ne souffrent pas ?


Que vie et mort sont intimement liées. Qu'en réduisant la problématique au seul trépas de l'animal, ta vision est par trop réductrice.


Elle n'est pas tellement réductrice du point de vue de l'animal non humain torturé et massacré, jme gourre ?

Et même en envisageant une mise à mort sans douleur après une vie idyllique, on serait toujours dans le cas de figure d'une exploitation répugnante (car il est obscène de décréter que les animaux non-humains sont là pour nous servir) et d'un abattage immoral...

...et d'autant plus répugnante, d'autant plus immoral que cette exploitation, que cet abattage ne nous sont pas indispensables, sinon dans le cadre d'un système économique à la con que tu es le premier à conspuer.

Par ailleurs, si l'intrication de la vie et de la mort autorise à faire n'importe quoi, on est mal barrés (et de fait : voir l'état lamentable de cette planète de tarés).



TimeBomb a écrit :
Que le but premier est de se nourrir en tenant compte de la nature omnivore de l'homme, que la souffrance animale n'est pas la fin en soi et que tout le monde ici est à peu près aussi horrifié que toi des dérapages nombreux et inqualifiables de l'industrie agro-alimentaire.

Que je ne veux pas d'un monde où on ne peut aspirer qu'à ce qui est nécessaire..


Tu inverses mon propos, et ce n'est pas innocent : on ne se réduit pas à ce qui est nécessaire : on évite le superflu quand il est nocif pour autrui...

...démarche à laquelle tu adhères dans tous les autres domaines.


La seule justification des carnistes pour leur jouissance sans conscience est qu'on aurait besoin de la viande.

Newsflash : on n'en a pas besoin. Et la nature omnivore de l'homme (et de la femme aussi, je suppose ?) est précisément ce qui permet de tourner le dos au carnisme.

Si on était des carnivores, ça ne serait pas possible, et l'idée de renoncer à la viande ne nous effleurerait même pas.

Mais nous sommes omnivores, ce qui veut dire que nous avons le choix.

Du coup : contorsions intellectuelles toutes plus navrantes les unes que les autres pour justifier une pratique dont la finalité est aussi limitée que vaine : une notion de plaisir gustatif subjective et en l'occurrence honteuse, qu'il est tout à fait possible de réinitialiser.

Si vous étiez horrifiés, vous seriez vegan : car vous êtes largement assez intelligents et cultivés pour comprendre l'obscénité d'un système pernicieux qui provoque des souffrances abominables et repose sur une vénalité et un égoïsme exacerbés.


TimeBomb a écrit :
Et que tes posts hautains et méprisants sont franchement casse-couilles.


Mes posts ne sont ni hautains, ni méprisants. Je l'ai dit et répété : je ne prends pas de gants, mais je n'attaque pas les personnes. Je réagis, parfois sèchement, à des attaques souvent violentes, mais ça, c'est bien normal, nan ?

Mais comme d'hab : quand on n'a rien sur le fond, on attaque la forme. N'est-ce pas, fabh ?


Caribou, la pratique des vegan est surtout éminemment dérangeante quand on est conditionné par le carnisme (98 pour 100 de la population en France ou en Belgique, je suppose).

Cette pratique remet tellement tout en question qu'il est nettement plus confortable de se f... la tronche dans le sable en haussant les épaules tout en disant « extrémistes » (et oui, ça doit faire mal, ce qui rajoute de la tension, globalement )

Mais en somme, si tu examines les choses posément, tu te rends vite compte que ce qui est extrême, c'est de tenir mordicus à une pratique nocive à tous les niveaux



ES125er : on est bien d'accord, l'êtrumain est une sale bête...
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Biosmog
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ça tourne en rond depuis une bonne centaine de pages par ici

Les arguments sont toujours les mêmes : pas indispensable, c'est mal.

Mais qu'est-ce qui est indispensable? J'ai de la peine à croire que les vegan soient tous suffisamment religieux pour croire qu'il y a un dessein derrière la vie. La vie est une immense chaine alimentaire, qui relie les êtres vivants. Le destin de la totalité des habitants de ce monde est d'être mangé par d'autres, plus grands, plus nombreux, plus agressifs, ou plus perfides. La morale, le dispensable et l'indispensable n'ont aucun argument rationels, ce sont des choix.

On peut prendre une position qui vise le respect absolu de toute vie, lorsque c'est possible. Ce respect doit aussi inclure la lutte contre toutes les formes d'exploitation de l'animal, qui maltraite et à terme tuent. Mais il faut être conséquent:
- l'industrie de la viande tue ou maltraite, on ne mange plus de viande, produits dérivés (lait, oeufs, miel, etc.) Car ce n'est pas indispensable.
- l'industrie du textile tue ou maltraite, on ne porte plus d'habits à base de laine, de cuir, ayant été teint avec des extraits animaux, etc. Car ce n'est pas indispensable.
- L'avortement se pratique sur des êtres dotés d'infiniment plus de conscience (notamment les trisomiques c'est autorisé très tardivement) qu'une abeille, on interdit tout avortement. Quant à l'euthanasie, jusqu'au moment où l'on n'a pas de preuve que les états de coma profond signifie l'absence de toute conscience, dans son sens minimal (la conscience d'une abeille pourraît être une référence), on interdit l'euthanasie (c'est le cas en France, je crois, mais pas ailleurs).
- La plupart des médicaments sont issus d'essais sur des animaux, qui sont maltraités, meurts ou sont tués après l'expérience. Il faut cesser de prendre ces médicaments et cesser de les prescrire (si on est médecin vegan). Car ce n'est pas indispensable.


Voilà quelques règles qui devraient être appliquées si on adhère à une vision anti-spéciste basée sur l'idée que nous n'avons aucune prééminence sur les autres formes de vie (conscience limitée, conscience animale).
Vous battez pas, je vous aime tous
Lao
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    Lao
    le 30 Juin 2016, 23:03
Biosmog a écrit :
........... choix.............
Skelter
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Biosmog a écrit :
ça tourne en rond depuis une bonne centaine de pages par ici

Les arguments sont toujours les mêmes : pas indispensable, c'est mal.

Mais qu'est-ce qui est indispensable? J'ai de la peine à croire que les vegan soient tous suffisamment religieux pour croire qu'il y a un dessein derrière la vie. La vie est une immense chaine alimentaire, qui relie les êtres vivants. Le destin de la totalité des habitants de ce monde est d'être mangé par d'autres, plus grands, plus nombreux, plus agressifs, ou plus perfides. La morale, le dispensable et l'indispensable n'ont aucun argument rationels, ce sont des choix.

On peut prendre une position qui vise le respect absolu de toute vie, lorsque c'est possible. Ce respect doit aussi inclure la lutte contre toutes les formes d'exploitation de l'animal, qui maltraite et à terme tuent. Mais il faut être conséquent:
- l'industrie de la viande tue ou maltraite, on ne mange plus de viande, produits dérivés (lait, oeufs, miel, etc.) Car ce n'est pas indispensable.
- l'industrie du textile tue ou maltraite, on ne porte plus d'habits à base de laine, de cuir, ayant été teint avec des extraits animaux, etc. Car ce n'est pas indispensable.
- L'avortement se pratique sur des êtres dotés d'infiniment plus de conscience (notamment les trisomiques c'est autorisé très tardivement) qu'une abeille, on interdit tout avortement. Quant à l'euthanasie, jusqu'au moment où l'on n'a pas de preuve que les états de coma profond signifie l'absence de toute conscience, dans son sens minimal (la conscience d'une abeille pourraît être une référence), on interdit l'euthanasie (c'est le cas en France, je crois, mais pas ailleurs).
- La plupart des médicaments sont issus d'essais sur des animaux, qui sont maltraités, meurts ou sont tués après l'expérience. Il faut cesser de prendre ces médicaments et cesser de les prescrire (si on est médecin vegan). Car ce n'est pas indispensable.


Voilà quelques règles qui devraient être appliquées si on adhère à une vision anti-spéciste basée sur l'idée que nous n'avons aucune prééminence sur les autres formes de vie (conscience limitée, conscience animale).


La drogue c'est vegan ou pas?
"Sans une faciale de temps en temps, peut-on réellement parler d'amour?", Ben.oît

#Free the nipple!
#FreeMissDaisy
Redstein
Pas du freepost vu que les drogues font partie des produits pharmaceutiques dans leur ensemble et que pas loin de trois médicaments sur quatre contiennent des sous-produits animaux
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Biosmog
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Redstein a écrit :
Pas du freepost vu que les drogues font partie des produits pharmaceutiques dans leur ensemble et que pas loin de trois médicaments sur quatre contiennent des sous-produits animaux


Je ne crois pas que c'était le fond de la question de Skelter
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Redstein
Biosmog a écrit :
ça tourne en rond depuis une bonne centaine de pages par ici


Tu ne lis pas ce qui s'est dit et tu décrètes que les choses tournent en rond histoire d'enfoncer des portes ouvertes et de sortir des arguments absurdes auxquels il est répondu juste au-dessus ?


Biosmog a écrit :
Les arguments sont toujours les mêmes : pas indispensable, c'est mal.

Mais qu'est-ce qui est indispensable? J'ai de la peine à croire que les vegan soient tous suffisamment religieux pour croire qu'il y a un dessein derrière la vie. La vie est une immense chaine alimentaire, qui relie les êtres vivants. Le destin de la totalité des habitants de ce monde est d'être mangé par d'autres, plus grands, plus nombreux, plus agressifs, ou plus perfides. La morale, le dispensable et l'indispensable n'ont aucun argument rationels, ce sont des choix.


Juste au-dessus, donc :

Red a écrit :
TimeBomb a écrit :
(...) je ne veux pas d'un monde où on ne peut aspirer qu'à ce qui est nécessaire..


Tu inverses mon propos, et ce n'est pas innocent : on ne se réduit pas à ce qui est nécessaire : on évite le superflu quand il est nocif pour autrui...

...démarche à laquelle tu adhères dans tous les autres domaines.


La seule justification des carnistes pour leur jouissance sans conscience est qu'on aurait besoin de la viande.

Newsflash : on n'en a pas besoin. Et la nature omnivore de l'homme (et de la femme aussi, je suppose ?) est précisément ce qui permet de tourner le dos au carnisme.

Si on était des carnivores, ça ne serait pas possible, et l'idée de renoncer à la viande ne nous effleurerait même pas.

Mais nous sommes omnivores, ce qui veut dire que nous avons le choix.



Biosmog a écrit :
On peut prendre une position qui vise le respect absolu de toute vie, lorsque c'est possible. Ce respect doit aussi inclure la lutte contre toutes les formes d'exploitation de l'animal, qui maltraite et à terme tuent.


Oui, dans la mesure du possible, et sans élever la démarche au statut de dogme (même si certains vegans se font des noeuds au cerveau par rapport à ça, envisageant même d'intervenir partout contre la prédation entre non-humains, ce qui est un non-sens) : l'idée est de limiter autant que faire se peut la souffrance causée par les humains, et s'il y aurait du pain sur la planche dans nombre de domaines, la première intervention, la plus urgente (cesser de manger les animaux, cesser de les exploiter à des fins commerciales) porte en germe les suivantes.

Piti ta piti, donc.

Car on n'est certes pas dans une logique religieuse, ne vous en déplaise.

Et d'ailleurs :

Biosmog a écrit :
Mais il faut être conséquent:


AMEN

Les détracteurs du véganisme ont toujours très à coeur la cohérence de la démarche - ça ne présage jamais rien de bon.


Biosmog a écrit :
- l'industrie de la viande tue ou maltraite, on ne mange plus de viande, produits dérivés (lait, oeufs, miel, etc.) Car ce n'est pas indispensable.
- l'industrie du textile tue ou maltraite, on ne porte plus d'habits à base de laine, de cuir, ayant été teint avec des extraits animaux, etc. Car ce n'est pas indispensable.


Tu vois, insister comme tu le fais sur un seul des deux termes de l'équation est profondément malhonnête :

on ne le fait pas non pas parce que « ce n'est pas indispensable », point barre.

Le raisonnement ne se fait pas dans le vide : il repose sur un fait incontestable, et encore une fois, j'en parlais juste avant :

on ne mange pas de viande et autres « sous-produits » animaux, on évite la laine et le cuir, etc. parce qu'une fois évacuées les justifications ancestrales et obsolètes des souffrances et massacres imposés aux non-humains, il ne reste qu'une chose, ou plutôt deux : l'abominable réalité de ces souffrances et massacres, et le droit des non-humains à mener leur vie sans que les humains ne viennent les faire ch....

Vrai que si la viande nous était nécessaire, les choses seraient compliquées (ou pas : on peut se dire que nous serions des carnivores sans conscience)...

...mais parfois, la vie est bien faite


Donc :

abomination + non-nécessité = véganisme.


En d'autres termes, il n'est pas question (contrairement à la feinte croyance que vous êtes si nombreux à arborer) de renoncer à tout ce qui peut faire le charme de l'existence au prétexte que ça ne serait « pas indispensable » : on évalue tout bêtement l'intérêt de ces choses non nécessaires sur la base du critère habituel :

« cela nuit-il à autrui ? ».

Donc :

innocuité + non-nécessité = éclatons-nous.



Biosmog a écrit :
L'avortement se pratique sur des êtres dotés d'infiniment plus de conscience.


Erreur courante : il ne s'agit pas de conscience, mais de capacité de souffrance, capacité de souffrance devant laquelle nous autres animaux humains et non-humains sommes tous égaux.



Biosmog a écrit :
- (...) on interdit tout avortement. Quant à l'euthanasie, jusqu'au moment où l'on n'a pas de preuve que les états de coma profond signifie l'absence de toute conscience, dans son sens minimal (la conscience d'une abeille pourraît être une référence), on interdit l'euthanasie (c'est le cas en France, je crois, mais pas ailleurs).


La bonne vieille question de l'avortement est vite réglée quand on n'est pas un enfant de Pétain et qu'on accepte donc la liberté de la femme : son corps, sa décision.

Quant à l'euthanasie, le débat est biaisé depuis toujours, et là encore, par paternalisme : le droit au suicide assisté reste à écrire.



Biosmog a écrit :
- La plupart des médicaments sont issus d'essais sur des animaux, qui sont maltraités, meurts ou sont tués après l'expérience. Il faut cesser de prendre ces médicaments et cesser de les prescrire (si on est médecin vegan). Car ce n'est pas indispensable.


Avidité des pharmaco-empoisonneurs, impuissance d'une recherche médicale inféodée à des intérêts qui n'ont rien de public : on est dans l'opacité la plus totale.

Quels tests sont nécessaires, dans quelles conditions, qui en décide ? L'industrie est juge et partie en la matière, comme à peu près partout de nos jours.

Du coup, ce domaine est sans doute le plus problématique, car quand on est malade, il faut bien se soigner, et on est alors à la merci de son médecin (et de ses visiteurs !).



Biosmog a écrit :
Voilà quelques règles qui devraient être appliquées si on adhère à une vision anti-spéciste basée sur l'idée que nous n'avons aucune prééminence sur les autres formes de vie (conscience limitée, conscience animale).


Erreur courante et rarement innocente (cf. les propos de cet abruti de Raphaël Enthoven, qui, en les proférant, abjure toute éthique professionnelle histoire d'exister dans le PAF en tant que... philosophe ) : il ne s'agit pas de nous mettre au même niveau que les non-humains.

Il s'agit tout connement d'éviter les souffrances inutiles qui seraient (sont !) de notre fait.

En d'autres termes : il n'est toujours pas question d'accorder le droit de vote aux écureuils.
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Je ne crois pas que c'était le fond de la question de Skelter


Non, bien sûr. Il ne devait pas avoir le temps d'entrer dans les détails
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