Biosmog a écrit :
Il y a de la bonté chez l'homme, dans l'amour, je ne le nie pas, mais refuser de voir aussi
le mal qui existe et pas seulement à l'extérieur de nous, c'est le moyen le plus sûr de le perpétuer.
C'est l'"amour pour des créatures de Dieu" qui a brisé d'innombrables petites vies, dans les sacristies catholiques. Mais c'est vrai que c'est plus commode de prendre les violeurs, pédophiles, les débordements du conjoint jaloux, etc pour des cas pathologiques, vite les écarter donc, et continuer de s'étonner de ce quotidien où des êtres qui s'aiment se massacrent, parfois sans même s'en rendre compte... et dans ce cas on trouve la pire des perversités: faire croire à sa victime que, puisqu'on l'aime, il ne peut pas s'agir de violence.
La violence oui peut prendre plein de formes différentes.
A tel point qu'elle peut se cacher derrière l'amour voire se déguiser...
Mais d'un point vue sémantique ce sont deux "choses" différentes.
Donc il convient de ne pas confondre.
Après oui, notre histoire et catholicisme (ou autres) nous suit et nous influencent sans doute (inconscient collectif ?) aussi.
Je ne nie pas la violence, elle est partout et même à l'intérieur de nous comme tu dis. Je suis d'accord, elle est présente dans la Nature, mais par notre éducation, notre parcours, expérience,... on apprend à la canaliser pour en faire quelque chose de constructif et non destructeur pour soi et les autres.
Un truc du genre, je ne suis pas psy,...
PEACE & LOVE