jules_albert a écrit :
les trotskystes sont des staliniens qui ont tout raté.
@ redstein : toujours comique de lire tes commentaires conformistes et plats. si à l'université, au lieu d'y perdre ton temps à recueillir des débris de savoir avariés, on t'avais enseigné l'histoire de france ou celle de l'espagne, tu saurais de quelle façon ces peuples, lorsqu'ils étaient encore vivants, réagissaient aux outrages du pouvoir... les minables bureaucrates de ton espèce sont bien contents que les peuples soient désormais totalement domestiqués. mais votre victoire sur la vie n'est que passagère car les cellules cancéreuses meurent quand même de leur succès.
et puis, cette soumission est souvent volontaire (ah, la boétie...), c'est pourquoi je me suis permis de traiter d'"imbéciles" mes compatriotes.
pour en revenir au thème des armes à feu, il est nécessaire de rappeler cette vérité refoulée : sans éthique guerrière, point de liberté.
rappeler aussi que ce qui importe n'est pas l'arme en soi, mais l'homme qui la tient.
Oui, oui, on sait : guns don't kill people - people kill people...
...with guns.
S'étant découvert un embryon de culpabilité mais bloqués une fois pour toutes au stade de l'invective gratuite - si pratique car dispensant de toute réflexion - les ptits bourges mal dégrossis dans ton genre idéalisent le peuple de loin (passke s'y mêler, non merci, très peu pour toi, pas vrai...) en se figurant expier ainsi les fautes de leurs pères...
...et n'étant pas à un contresens près, ils prennent les logorrhées d'écrivaillons bourgeois de cinquième zone pour des frémissements libertaires émanant des masses abruties.
Réflexion faite, tu devrais bien t'en tenir à ce que tu maîtrises : ce copier-coller que personne ne lit...
...car tout ce que tu prouves avec les imbécillités de ton cru, c'est que tu n'en sors pas, du peuple, contrairement à... euh, ben à moi, tiens, par exemple.
Le peuple, c'est une masse amorphe et inculte. Il en a toujours été ainsi, et il faut être un rigolo dans ton genre pour (vouloir faire) croire qu'il puisse devenir autre chose que bourreau et chair à canon hors du cadre d'une société dite démocratique : la classe dominante que tu représentes à ton corps à peine défendant y a veillé.