Quand j'étais enfant, j'habitais en face de la caserne des pompiers. Le jour de leur fête, ils avaient délimité une zone avec des bottes de foin et rempli le bassin ainsi créé de mousse. Il s'est passé moins de cinq minutes avant qu'un enfant plonge tête la première sur le goudron. Bref, fête gâchée... Je me suis toujours demandé comment ils avaient pu ne pas anticiper un truc pareil.
Quod gratis asseritur gratis negatur.