En revanche ce qui caractérise la littérature
abrutissante, au-delà de tout critère esthétique, c'est précisément qu'ingérée pour
distraire une fraction de temps, elle reste
lettre morte, sans projet, sans poésie parce que sans
temps devant elle. Il ne s'agit plus alors que de plus ou moins grande virtuosité dans l'usage d'une convention figée, et cela peut aller des romans à l'eau de rose style Harlequin aux raffinements à la Perec. (abécédaire, edn nº6)