Citation:
«L'incitation majeure des pouvoirs publics et des médias, c'est d'éprouver son corps dans la douleur. La valorisation incessante de cette défonce physique a un sens politique : il s'agit d'une autochloroformisation des consciences par le biais de la fatigue volontaire. Les endorphines opioïdes sont sécrétées, le corps plane, on ne pense plus. C'est un shoot généralisé que chacun se prodigue pour oublier la triste réalité.»
Au contraire
Il n' y a pas de plus grand moment de méditation , de réflexion , de focus intellectuel , que quand on parcours des kilomètres et des kilomètres . Le corps se mets en pilotage automatique , l' esprit est libre .
C' est trés facile a experimenter , mais ça demande autre chose que lire trois bouquins de sociologie et les relier a deux études de "science et vie junior" , il faut prendre sa paire de pompes et passer quelques mois a s' exercer , et petit a petit on arrive a cet état de méditation , une fois le seuil de la douleur apprivoisé
De manière plus générale , les " grande personnes serieuses" qui m' expliquent que ça ne sert a rien de jouer , puisque le sport c' est aussi ça , a la base , un jeu , une activité ludique , me font a la fois peur et pitié , je pense qu' ils ont perdu quelquechose de préçieux .
Pour finir , je dirai , en mode " backstage " que la critique intellectualisée du sport sert souvent d' excuse aux gras du cul ( vous allez les voir rappliquer içi bientot d' ailleurs ) tout comme le célèbre adage de la taille qui ne compte pas sert souvent d' excuse aux petites bites .
"Mais ouvres les yeux Don Guillermo " - mjolk