Cher Gui.
Pour les ongles, mon premier professeur, vieil andalou ayant beaucoup roulé sa bosse, en avait d'un demi-centimètre... et il m'apprenait à jouer avec le pouce en évitant systématiquement de toucher la pulpe!!
Comme quoi, et j'aime beaucoup ce constat, il y a toutes sortes "d'écoles"...
"Ramon Montoya... ...J'ai d'ailleurs commencé sur ses falsetas."
Moi aussi, lorsque j'ai repris le Flamenco vers 17 ans !!
Quant à Carlos, il n'y a pas que son jeu crépitant qui peut faire dresser les cheveux sur la tête de certains... il y met, par exemple, parfois une certaine vulgarité étrange quand on connaît la noblesse du cousin...
Mais bon. Ce genre de conversation montre une chose réjouissante : le flamenco vit encore !
Bien cordialement,
Amidala
(qui ne dira pas sa longueur d'ongles... !)