olivier064 a écrit :
rapideyemove a écrit :
olivier064 a écrit :
goku song a écrit :
et les strat série L sont très loin d'être rare...
D'apres ce que j'en sais/ ce qu'on m'en a dit , c est celles qui sonnent qui sont rares!
( Ce que je veux dire , c est que au prorata du nombre de série L / celles qui sonnent vraiment , ça en fait plus tellement qui valent le coup ou leur prix disons
)
C'est pas de la magie les séries "L".
Elles ne sonnent pas le jour et la nuit, non plus.
À ceci près qu'une SlabBoard (donc palissandre) n'aura pas tout à fait le même profil sonore (attaque, registration / équilibre graves, médiums, aigus...) qu'une CurvedBoard (toujours en palissandre, donc), mais la différence reste assez mince ;
bon, pas "oreilles bioniques", non plus.
Et là encore ne parlais–je que des manches rosewood (souvent, voire exclusivement en Dalbergia Nigra authentique).
Si si pour moi ça , c est du délire total "oreilles bioniques " etc....
Mais t'as le droit de penser le contraire , pas de souci
Tu n'as pas dû bien lire ce que j'ai écrit : nous allons de fait dans le même sens. Je disais que les touches SB ou CB, dont on dit sempiternellement qu'elles sonnent de manière très différente, eh bien, quand tu as le nez dessus (ou plutôt les oreilles !), accroche–toi...
Idem, la différence entre différents RoseWood : Rio, Indian, Madagascar...pour les touches des électriques.
Je ne parlais pas du jeu en groupe, non plus.
Mais, effectivement, quand on se retrouve à deux guitares, une basse, une batterie, un clavier...etc...etc, autant laisser la L à la maison et mettre la main sur la MIJ ou l'American Standard pour monter sur les planches
Quoi qu'il en soit, l'objet particulier du topic est, ici, assez lointain.
Nous parlions en fait de l'établissement d'une valeur, les guitares ou le gear qui va avec (pédales, exemple la RO de VW).
Bref, de l'économie : la loi de l'offre et de la demande, pour dire vite.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.