ColDay a écrit :
rapideyemove a écrit :
Attention, ta convivialité postillonne.
Choqué ?
Ben, non, même pas.
La naïveté m'amuse, elle ne me choque plus, depuis longtemps
Pour le reste, je te laisse à tes illusions laxatives, et à tes appréciations stylistiques, toujours utiles, et invariablement sympathiques.
T'es un champion toi, ça fait un an que tu es inscrit ici et tu as déjà réussi à pourrir tous les sujets sur lesquels je me faisais un plaisir d'aller, avec tes attaques acides et diarrhées verbales. Je ne te remercie pas, le forum se portait mieux sans toi.
...
Aucune acidité. .
Pas de problèmes intestinaux, non plus.
Je ne suis simplement pas dupe des insultes qui me sont lancées, alors que je ne cherche, au plus vrai, à n'agresser personne.
Je n'en suis pas dupe, mais j'y réponds toujours avec mesure.
C'est sans doute cette mesure qui t'agace, ainsi peut-être qu'une certaine ironie.
Ai-je "réussi à pourrir tous les sujets sur lesquels (tu te) faisais un plaisir d'aller" ?
Pour y réussir, encore aurait-il fallu, sans doute, que je le cherche auparavant, ce avec une perversité sacrément soupçonneuse.
Peut-être que certains, ici-même, savent ce qu'il en est, c'est à dire quels sont le sens, la teneur et la réalité de mes interventions passées, ici comme ailleurs.
Peut-être sauront-ils faire la part des choses afin de voir qui pourrit quoi, et comment.
Maintenant, me servir, avec une délicatesse qui me va droit au coeur, que "le forum se portait mieux sans toi" c'est me donner une importance et une virulence auxquelles je ne rêvais même pas d'atteindre !
Souhaitais-tu que je te méprise, également ? Que je t'insulte, aussi, en retour ?
Eh bien, non, tu pourras aisément t'assurer qu'il n'en est rien.
Le mépris et l'insulte ne sont guère dans mes cordes.
Dois-je croire que je t'ai convaincu, enfin ?
Je n'ai malheureusement pas cette naïveté, non plus.
Et c'est sans doute dommage.
Remarquons enfin que cette réponse, mesurée, encore une fois, figure à nouveau dans un
hors-sujet, avec clarté.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.