olmos a écrit :
headsup a écrit :
après, il y a les critiques bêtes et méchantes, et celles là, il faut les ignorer purement et simplement
Il faut les ignorer?
Moi j'ai pas envie de les ignorer!
Des critiques betes et méchantes, une fois, deux fois, ça passe!
Mais après un certain nombre, ça me gonfle.
Quand j'entend; "c'est un frimeur", ou "tu nous sors tes plans à 2 balles", ou encore "tu es le genre de guitariste que je peux pas blairer", j'en passe, et des meilleures, et bien oui, ça me gonfle...
Si on maime pas, ok, mais quand on juge ma personnalité sans me connaitre, et bien j'ai pas envie d'ignorer, j'ai quand même un droit de réponses non?
Tu as tout à fait raison, faire de la musique, être professionnel, c'est s'exposer!
Alors si s'exposer=frimer, il faut tout arreter alors, plus personne ne joue plus!
Demande à Stef si je suis un frimeur, ainsi qu'à guitarmaster, ainsi qu'à glamandshred, à #11, etc...
Tu verras ce qu'ils te répondront!
Enfin...la vie continue...
tu sais je suis méga limité en vocabulaire
, et quand je dis frimeur, j'entend par là "exhibitioniste". parfois, on est obligé.
quand tu joues devant des gens qui attendent que tu fasses un plan un peu acrobatique, tu le fais pour leur faire plaisir : et c'est de la pure frime. mais ça fait plaisir, et c'est l'essentiel.
pour revenir aux critiques, oui, j'admets que ça doit être gonflant à force. ça me rappelle une espèce de marseillais qui me harcelait. je sais plus trop son nom, ça me faisait penser à une galaxie (bonjour l'ego), euh...staf69 je crois, ou un truc dans le genre.
.
en fait, ouais, c'est pas facile de passer pour quelqu'un de humble quand on a du talent. c'est toujours mal interprété...
ne pas prends pas mal ce que j'ai écrit dans le message précédent. c'est un peu de la psychanalise à 2 euros. quiconque joue de la musique pour quelqu'un d'autre que lui est un prétentieux, un frimeur et un exhibitionniste : il joue pour donner de la joie aux autres etc...
mais pour qu'il il se prend ???
je sais que c'est pénible de passer pour ce que l'on est pas, mais c'est le tribut à payer dès qu'on se frotte à des congénères (par exemple moi, je passe pour un sale con, alors qu'en fait je suis gentil).