Je crois avoir lu dans plusieurs livres qu'Andy Warhol était fasciné par la mort et j'ai toujours trouvé qu'il y avait une noirceur, un nihilisme chez lui qui collait bien avec l'ambiance New-Yorkaine de l'époque et le V.U.
Incroyable comment les thèmes "subversifs" classiques du Sexe Drogue & Rock'n'Roll, l'opposition a la guerre du Vietnam, sont vécus complétement différemment entre Côte ouest et Côte est des Etats Unis à la fin des sixties...
D'un côté... San Francisco, le Jefferson Airplane, le Summer of Love et les Hippies, et de l'autre New York, l'héroïne, le V.U, The Fugs puis, quelques années plus tard, les New York Dolls...
Selon la légende, c'est suite à un concert des N.Y. Dolls a Londres en 76 que pleins de jeunes Anglais se sont mis au Punk Rock, le Velvet Underground était alors l'un des rares groupes encore respectables...
Désolé, je suis plutôt dans une histoire du Rock que sur le V.U, j'aime bien comprendre le contexte dans lequel les groupes se développent... et le Velvet Underground est fascinant pour tout ça aussi.
Être plutôt que paraître, brouter plutôt que paître...