Steve Vai

faut jouer (assez) fort pour pouvoir jouer ainsi sur la dynamique par le potard de volume.
les 3 ingrédients sont simples : gros crunch, potard de volume, boost (ovedrive avant la tête).
en effet c'est plus compliqué de doser les 3 de la bonne manière et au bon moment.
et le piège c'est comme souvent de vouloir mettre "trop de gain", il n'y en a pas tant que ça !

Pour le son, je suis bien restreint... Pas de moyens, ma ça viendra après!

Alors je me concentre sur les tabs et continue de me faire saigner, ouais!

Ne pas oublier la bad horsie ^^

En voilà un conseil intéressant! Ne sachant pas doser la saturation de l'ampli, j'utilise mon preset habituel qui n'est autre que le réglage ci dessous, emprunté à Petrucci. J'aime la dynamique de l'ampli, son niveau de saturation pas trop ni trop peu. Je trouve ces réglages efficaces dans tous les domaines. A l'époque je changeais de réglages à chaque morceau, désormais je n'utilise que le premier.





Je préfère le premier réglages, surtout pour le crunch qui est plus polyvalent. Mais je passe des semaines entières à jouer avec le 2nd. Cependant, ni l'un ni l'autre ne permettent d'avoir un crunch suffisant et je suis obligé de passer en Lead (micro chevalet) et bien sûr la Bad Horsie. Je vais essayer de muscler mon crunch pour abandoner le lead. Je dois admettre que les micros de Steve Vai jouent un rôle important. La course avec le volume permet de bien limiter la saturation sans trop baisser le volume général de sortie. Chose que je n'ai pas avec le Crunch Lab, ni avec d'autres Di Marzio.

Ah, Steve Vaï... un peu surprenant comme guitariste. J'ai toujours du mal à me dire qu'il fait partie des shredders en puissance... avec ce côté expérimental, je le trouve quelque peu hors normes dans le paysage guitaristique...

Le personnage qu'il est sur scène... il en fait des tonnes, se recoiffe, pose, etc., ça fait partie du show, et ça, quelques uns n'ont pas compris (même ses tenues font partie du show)... il en est même pour dire qu'il est gay parce que m'sieur Vaï aurait une érection quand il joue. J'ai demandé des preuves, j'attends toujours (aïe, je sens bien un montage pourri sous paint pour me le démontrer)... pour un musicien qui a relevé du Zappa à la feuille... je pense qu'il peut se permettre de faire le show sur scène.

Avec Whitesnka,e je trouve que ce n'est pas sa bonne période. Avec Coverdale, remarque, c'est des changements permanents, comme sa coupe... donc Vaï a pris la monnaie quand l'occasion s'est présentée. Je l'ai vu dans Alcatrazz, remplaçant au pied levé un certain suédois, reprenant les solos de Vingwie malstinne (comme dit ma femme) à la note... faut déjà le faire.

Et puis le gars est vraiment sympa, gros déconneur... et il sait s'entourer. Il y a des loups dans la salle lors de la présentation des musiciens sur son dernier concert, notamment lorsqu'il présente Ann-Marie Calhoun ...

J'ai pas accroché à tout ce qu'il a fait, mais force est de reconnaître qu'il a un son propre à lui et une façon de composer qui le sort singulièrement du lot (l'influence Zappa, probablement)...

Ma reprise de "Windows to the soul"...i:
http://soundcloud.com/nicoguit(...)wave3

Matos utilisé:
Vst Ts'secret
Lepou Lextac
Kefir et guitar hack impulses
Amplitube 3
Ernie ball volume mono
Bad Horsie 2
Ibanez JPM 90th

Sympa!

Mais il y a trop de reverb et le delay est trop fort a gout...

Dommage que la wah soit pas trop ressentie.

Il y a juste quelques passages quelques passages ou tu es un peu décalé par rapport à la vraie... Mais j'ai envie de dire c'est logique... Sauf si tu t'appelles Steve Vai ^^

En tout cas c'est sympa

Merci pour ton commentaire,je prend note pour le delay,tu as raison je vais revoir ça un peu à la baisse.Par contre il n'y a aucune reverb.
Tu me rassures sur la wah moi qui pensait qu'elle était trop présente
Après pour ce qui est du jeu,de la justesse et du placement rythmique,c'est la mémerde,y a de la note qui pue mais bon,je suis loin d'être Steve.
Ca faisait des années que je ne jouais plus ce genre de truc et j'avais envie d'occuper un peu ma semaine en enregistrant cette ballade que j'adore.

C'est sur que c'est pas du gateau ce morceau.. Mais tu t'en sors bien

je pensais que t'avais mis de la reverb... Ça doit être le delay qui m'a trop marqué ^^

Je suis en train de reprender Aching Hunger mais j'ai un problème pour identifier la sonorité de ce son très particulier.

sur le site de Vai, on me propose ceci :
http://www.vai.com/Machines/li(...).html

Mais je ne vois pas LA pédale qui peut donner ce son caractéristique. S'agit-il simplement des Egnater? Je ne le pense pas. Ce son est bien tordu, mais avec quel outil?

si vous avez une piste, merci de m'en faire profiter. Merci par avance.

Personne n'a d'idée depuis le 25 septembre?

Ce son agressif provient probablement de ses Evolution, mais pas seulement si? Vous avez une idée sur le son du riff principal? J'arrive à le rendre agressif avec ma Wha (enfin la sienne surtout), un poil de chorus, mais je ne trouve pas la suite. Je n'y suis pas. Oui il un harmonizer et un delay court mais comment y parvenir?

PITAIN "For the love of god" et "Blue powder" entre autres, c'est quand meme des chefs d'oeuvres incroyable, ce feeling et cette technicité O_O

moi je trouve ça mortel, ultra proche du jeu de Vai (pas écouté l'originale depuis des années pour les détails)... chapeau bas !

Comme d'autres invités tels que Nuno Bettencourt, Steve Stevens, Stevie Salas et Steve Lukather, Steve Vai a participé à l'album Best Of "The World As We Love It" du groupe russe Pushking. Il joue sur le titre "My Reflection After Seeing The Schindler’s List Movie".

http://www.puissancemetal.fr/a(...).html

http://musique.fnac.com/a33341(...)album

Merci bien,on fait ce qu'on peut.J'en ai fait d'autres,je les uploaderai peut être bientôt.Le but de "l'exercice" était justement de se rapprocher le plus possible du maître.Ca n'a peut être pas forcément d'intérêt en soit,mais c'est un exercice que j'aime appliquer.En ce moment c'est Jeff Beck...

on fait tous ça avec divers "modèles" suivant les périodes/phases...


à la fin le mélange non réfléchi de tout ça finit par sonner personnel.
(si on réfléchit trop, attention... ça devient un patchwork de citations, ce qui est moins intéressant)