Kate bush.....

on dirait la bande son d'un film SF des années 80

Très fan de cette chanson :

Je passe en boucle never forever . De l'inventivité onirique du sol au plafond .Jamais de mauvais goût .Grand album .

Dommage qu'elle ne suscite pas plus d'intérêt . Plus je l'écoute et plus je me prends dans la face qu'elle est l'alter ego de Freddy Mercury . Ni plus ni moins. Ca me paraît maintenant une évidence.

Reportage sur "Kate Bush, la sorcière du son", diffusion le 31 juillet à 22h35 sur ARTE, ou disponible maintenant en streaming sur l'application ARTE, rubrique Summer of Dreams.

Ce morceau est magnifique !

Une tuerie.... y a des chefs d'oeuvre absolus sur cet album : Mooving, Kite, Wuthering (version album) et ce putain de "l'amour looks something like you" à pleurer tellement c'est beau !

Album sorti en pleine période punk anglais, et tellement ovniesque que tout amateur de "différence" ne pouvait que succomber. Pour l'anecdote, John Lydon/Rotten l'adorait. Je me rappelle de soirées où ça passait entre un Clash et un Ramones. Il faut être du niveau d'un Bowie pour transcender ainsi les genres et les chapelles.

Quant à The Man With The Child In His Eyes ... écrit à 13 ans, tu m'étonnes que Gilmour est tombé raide quand il a entendu les démos de la gamine!

Je crois que mon précédent message est passé à la trappe, donc je le remets, si vous aimez Kate Bush...

Reportage sur "Kate Bush, la sorcière du son", diffusion le 31 juillet à 22h35 sur ARTE, ou disponible maintenant en streaming sur l'application ARTE, rubrique Summer of Dreams.

Je l’ai vu pendant le confinement. Il est bien fait.
Du coup cette semaine au lieu de me faire une série quelconque. , je me suis fait toute les vidéos plus les prestations dans des émissions télés
Je me suis régalé

Comme on en avait parlé sur un autre topic, je me suis refait The Dreaming pour me rendre compte que j'avais complètement oublié cet album.

Pour commencer je ne trouve pas qu'il ait mal vieilli, comme j'ai pu le lire dans l'autre discussion. Les sons sont datés, le traitement de la voix aussi, mais ça reste frais, et surtout fait avec goût.

C'est peut-être son disque le plus abouti, avec une grande cohérence du début à la fin, et des compos particulièrement chiadées (rien que le 7/4 du premier titre, ça met les choses en place).

Oui mais... Je continue à préférer la limpidité des mélodies de Never For Ever qui réussit le tour de force de cacher sa complexité derrière une façade d'apparente facilité et d'évidence (Army Dreamer !!). La marque des grands ??