Ah, shake Chaka shack et son Rufus sans T...
Pour ne rien ajouter au sujet des acolytes de Donald Fagen et de la reconnaissance que nous pouvons leur devoir .
Les deux titres de Rufus Walkin’ the dog Thomas, outre leur puissance singulière (surtout le Breakdown), envoyaient un signe plus qu’appuyé au documentaire Wattstax (sorti en 1973), lequel documentaire s’essayait à résumer au quart environ les sept heures du concert qui s’était tenu au LA Coliseum, le 20 août 1972, pour commémorer les Watts riots d'août 1965.
Le format de l’engin était sans doute un peu long pour être publié ici dans son intégralité.
D’où le choix de Rufus T. qui ne promenait ni son chien ni son public.
Mais on pouvait, au hasard, dans le programme de ce jour lointain, tout aussi bien s’envoyer cul sec les Bar-Kays, Eddie Floyd, Carla Thomas, Johnnie Taylor, Isaac Hayes ou les Staple Singers.
Et j’en passe.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.