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Fête de la Musique 2011 Paris 14éme
CONCERT RICARD S.A. LIVE MUSIC Place Denfert-Rochereau à Paris avec LES ARTISTES SOUTENUS PAR LE FAIR
THE ELDERBERRIES – LE PRINCE MIIAOU – ALISTER – SKIP THE USE
Pour profiter d’un plateau aussi éclectique que novateur le soir de la Fête de la Musique à Paris, les spectateurs savent qu’il n'y a qu'un lieu : la place Denfert-Rochereau ! Une fois encore le Ricard S.A. Live Music mettra tous ses moyens à disposition de l’association fair pour offrir une déferlante de décibels et démontrer que les jeunes artistes ont du talent à revendre ! La programmation qu'ils ont spécialement concoctée pour ce mardi 21 juin promet une nouvelle fois d’aiguiser les sens :
SKIP THE USE
Nourri au rock, punk, ska, disco, Skip the Use a digéré ces influences pour recréer une énergie qui lui est propre. Emmené par son chanteur charismatique et survolté, le groupe offre sur scène un cocktail explosif de glam-rock et de punk, imparable machine à danser qui va enflammer Denfert-Rochereau !
Nourris dès le biberon au rock, punk, ska, disco, les membres de Skip the Use ont su digérer toutes ces influences pour recréer un son, une matière et une énergie qui sont désormais la marque de fabrique du groupe. Avec un premier album éponyme survitaminé, le groupe a mis un sérieux coup de pied dans le paysage musical actuel, en nous donnant l’irrépressible envie de bouger. Sur scène, Skip the Use, emmené par son chanteur charismatique et survolté Mat Bastard, a une énergie pure et décapante, imparable machine à danser qui nous laisse rincés, essorés et heureux de l’être ! On n’a pas toujours envie de se prendre des gifles mais celles que l’on prend à chacun de leurs concerts font un bien fou. Après avoir donné dans le punk pendant 10 ans au sein du groupe Carving, Matt Bastard rencontre sa formation il y a deux ans : Yann Stefani, Jay Gimenez, Lio Rapsaert et Manamax Catteloin. Ils se feront remarquer lors d'une première partie de Rage Against the Machine au Portugal avant qu’Yves Jaget et Manu Guiot ne produisent leur premier album. Les cinq garçons venus du nord créent leur propre réchauffement climatique en répandant des nuages de chaleur sur la scène rock française. Un cocktail explosif de glam rock punk, en bref : LA découverte de la décennie. Et Skip The Use ne manquera pas de continuer de nous surprendre et de nous électriser dans les prochains mois, notamment avec un second album en préparation.
www.myspace.com/skiptheuse
ALISTER
On avait laissé Alister en dandy décadent, réconciliant rock à l’anglo-saxonne et aquoibonisme à la française. Hors des sentiers battus et pourtant terriblement accrocheur, le nouvel Alister revient chambouler notre idée de la chanson française et possède toutes les qualités pour
marquer son époque.
On avait laissé Alister en dandy décadent, avec un premier album sur lequel l’ancien scénariste pour la télévision imposait son écriture acérée en réconciliant rock à l’anglo-saxonne et aquoibonisme à la française. Campant des personnages tour à tour réels, fantasmés ou déglingués – quand ils n’étaient pas les trois à la fois – Alister transporta ensuite ses titres en tournée, où il confirma son goût pour les joutes verbales et autres sorties désabusées.
C’est justement accompagné de ses musiciens de scène qu’il a complété ce nouvel album, «Double Détente» : « J’ai voulu retrouver le lyrisme qu’on atteint parfois en concert » explique-t-il. Et si ce nouveau recueil étonne d’emblée, c’est par la qualité de sa production. En effet, loin de se limiter à l’arsenal basse-guitare-batterie, le disque se pare d’instrumentations soignées au possible : des cordes arrangées et dirigées par le grand pianiste pop Steve Nieve (Elvis Costello), de la musique électronique… Et s’il avoue une parenté avec Elton John ou Steely Dan, Alister convoque également les albums 70’s de Christophe ou Véronique Sanson, lorsque ceux-ci inventaient une nouvelle manière de faire de la musique en France.
En ces temps de saucissonnage forcené de la musique en fichiers numériques compressés, « Double Détente » rend aussi sa noblesse au format de l’album au long cours. Chaque titre s’imbriquant l’un dans l’autre, via des leitmotivs savamment distillés, le tout formant au final, un
étonnant tour de force esthétique. Hors de tous les sentiers battus et pourtant terriblement accrocheur, le nouvel Alister vient donc à nouveau chambouler une certaine idée de la chanson française et possède, à coup sûr, toutes les qualités pour marquer son époque.
www.myspace.com/alistermusic
LE PRINCE MIIAOU
Le Prince Miiaou n’est ni un chat, ni un groupe, mais une fille, Maud-Élisa Mandeau, qui compose des albums post-rock denses et lumineux. Entourée de 3 musiciens sur scène, cette grande timide apprivoise le public grâce à un drôle de déguisement et quelques notes de flûte,
pour les séduire avec son rock raffiné et décalé.
Un peu gauche, naïvement adroite, joliment dégingandée, Le Prince Miiaou n’est pas un chat, n’est pas un garçon, n’est pas un groupe, Le Prince Miiaou est Maud-Elisa MANDEAU, est une fille, est seule. Ce nom de scène, elle l’a choisi dans un livre de contes, sans considération philosophique, anthropologique ou météorologique, il fallait en choisir un. Le Prince Miiaou n’aime pas tellement aller chercher midi à quatorze heures inutilement, parce que premièrement, midi n’est jamais à quatorze heures et deuxièmement, le Prince Miiaou ne porte jamais de montre. En 2002, Maud-Elisa rencontre Norbert Labrousse (son batteur
actuel), maître Yoda, avec qui elle monte un groupe post rock : formation, progression, gestation. En 2006 : stagnation, exaspération, éclosion, Maud-Elisa laisse tout tomber pour faire SA musique et crée Le Prince Miiaou. En 2007 : 10 chansons, un album « Nécessité Microscopique ! » (autoproduit). Pour cet enregistrement on lui présente un violoncelliste : François Pierre Fol ; bluffée par la capacité de ce dernier à comprendre les arrangements de cordes complètement bordéliques qu’elle a composés, elle l’enrôle pour le live. A trois sur scène, 5 concerts, 6 mois. En 2009 : 13 morceaux, un album « safety first » (autoproduit). En 2011, son 3ème album, ”Fill the blank with your own emptiness”, est enregistré dans le studio de sa maison perdue au milieu des vignes, et la fait connaitre du public.
Maud-Elisa bien qu’autodidacte, compose tout ce qui est donné à entendre sur ses albums seule, y compris les batteries, les cordes, les claviers etc. (d’où les mots « tout » et « seule » dans la phrase précédente). Jusque-là, ses clips et photos sont également le fruit de son travail et cette précision lui tient à coeur, parce qu’à quoi bon s’embêter à tout faire toute seule sinon…
www.myspace.com/leprincemiiaou
THE ELDERBERRIES
Les Elderberries débarquent en fracassant la porte avec bruit et fureur. Basses crasseuses, batteries lourdes et guitares rugissantes, le groupe tripode venu du Canada, d'Angleterre et de France offre un rock’n’roll sauvage qui emporte le public.
Après avoir été lauréats du Fair en 2009 avec la sortie de leur album ”Ignorance and Bliss”, c'est la poignée dans l'angle que les Elderberries prennent le virage. Ils débarquent en fracassant la porte avec bruit et fureur accompagnés de leur démo ”Trial and Error”, dégoulinante de basses crasseuses, de batteries lourdes et de guitares rugissantes.
Le monstre tripode venu du Canada, d'Angleterre et de France s'est enfermé dans une cave deux jours durant avec comme mot d'ordre : fast and loud and louder is never loud enough. La recette démoniaque fait effet et donne un gros rock'n'roll sauvage, suintant et fiévreux qui vous vrille les tripes, vous monte à la tête et vous fait appuyer sur la pédale sans vous soucier du mur en face. ”You should have known” nous annonce le titre éponyme de leur dernier 45 tours : Oui, c'est vrai, qu’au vu de leurs prestations scéniques énervées on aurait dû savoir que fatalement, notre platine finirait par cracher des décibels. En attendant la tempête de leur tournée, allez écouter les nouveaux morceaux and play'em FUCKING LOUD !
www.myspace.com/theelderberries
Les prestations scéniques déjantées des Elderberries, le rock esthète et ravageur du Prince Miiaou, la personnalité faussement détachée et vraiment inspirée d’Alister, l’énergie débordante de Skip The Use… De quoi composer en somme un panorama varié et exigeant de la jeune création musicale française !
Concert Ricard S.A Live Music mardi 21 juin 2011 à 19h30 Place Denfert-Rochereau !
CONCERT RICARD S.A. LIVE MUSIC Place Denfert-Rochereau à Paris avec LES ARTISTES SOUTENUS PAR LE FAIR
THE ELDERBERRIES – LE PRINCE MIIAOU – ALISTER – SKIP THE USE
Pour profiter d’un plateau aussi éclectique que novateur le soir de la Fête de la Musique à Paris, les spectateurs savent qu’il n'y a qu'un lieu : la place Denfert-Rochereau ! Une fois encore le Ricard S.A. Live Music mettra tous ses moyens à disposition de l’association fair pour offrir une déferlante de décibels et démontrer que les jeunes artistes ont du talent à revendre ! La programmation qu'ils ont spécialement concoctée pour ce mardi 21 juin promet une nouvelle fois d’aiguiser les sens :
SKIP THE USE
Nourri au rock, punk, ska, disco, Skip the Use a digéré ces influences pour recréer une énergie qui lui est propre. Emmené par son chanteur charismatique et survolté, le groupe offre sur scène un cocktail explosif de glam-rock et de punk, imparable machine à danser qui va enflammer Denfert-Rochereau !
Nourris dès le biberon au rock, punk, ska, disco, les membres de Skip the Use ont su digérer toutes ces influences pour recréer un son, une matière et une énergie qui sont désormais la marque de fabrique du groupe. Avec un premier album éponyme survitaminé, le groupe a mis un sérieux coup de pied dans le paysage musical actuel, en nous donnant l’irrépressible envie de bouger. Sur scène, Skip the Use, emmené par son chanteur charismatique et survolté Mat Bastard, a une énergie pure et décapante, imparable machine à danser qui nous laisse rincés, essorés et heureux de l’être ! On n’a pas toujours envie de se prendre des gifles mais celles que l’on prend à chacun de leurs concerts font un bien fou. Après avoir donné dans le punk pendant 10 ans au sein du groupe Carving, Matt Bastard rencontre sa formation il y a deux ans : Yann Stefani, Jay Gimenez, Lio Rapsaert et Manamax Catteloin. Ils se feront remarquer lors d'une première partie de Rage Against the Machine au Portugal avant qu’Yves Jaget et Manu Guiot ne produisent leur premier album. Les cinq garçons venus du nord créent leur propre réchauffement climatique en répandant des nuages de chaleur sur la scène rock française. Un cocktail explosif de glam rock punk, en bref : LA découverte de la décennie. Et Skip The Use ne manquera pas de continuer de nous surprendre et de nous électriser dans les prochains mois, notamment avec un second album en préparation.
www.myspace.com/skiptheuse
ALISTER
On avait laissé Alister en dandy décadent, réconciliant rock à l’anglo-saxonne et aquoibonisme à la française. Hors des sentiers battus et pourtant terriblement accrocheur, le nouvel Alister revient chambouler notre idée de la chanson française et possède toutes les qualités pour
marquer son époque.
On avait laissé Alister en dandy décadent, avec un premier album sur lequel l’ancien scénariste pour la télévision imposait son écriture acérée en réconciliant rock à l’anglo-saxonne et aquoibonisme à la française. Campant des personnages tour à tour réels, fantasmés ou déglingués – quand ils n’étaient pas les trois à la fois – Alister transporta ensuite ses titres en tournée, où il confirma son goût pour les joutes verbales et autres sorties désabusées.
C’est justement accompagné de ses musiciens de scène qu’il a complété ce nouvel album, «Double Détente» : « J’ai voulu retrouver le lyrisme qu’on atteint parfois en concert » explique-t-il. Et si ce nouveau recueil étonne d’emblée, c’est par la qualité de sa production. En effet, loin de se limiter à l’arsenal basse-guitare-batterie, le disque se pare d’instrumentations soignées au possible : des cordes arrangées et dirigées par le grand pianiste pop Steve Nieve (Elvis Costello), de la musique électronique… Et s’il avoue une parenté avec Elton John ou Steely Dan, Alister convoque également les albums 70’s de Christophe ou Véronique Sanson, lorsque ceux-ci inventaient une nouvelle manière de faire de la musique en France.
En ces temps de saucissonnage forcené de la musique en fichiers numériques compressés, « Double Détente » rend aussi sa noblesse au format de l’album au long cours. Chaque titre s’imbriquant l’un dans l’autre, via des leitmotivs savamment distillés, le tout formant au final, un
étonnant tour de force esthétique. Hors de tous les sentiers battus et pourtant terriblement accrocheur, le nouvel Alister vient donc à nouveau chambouler une certaine idée de la chanson française et possède, à coup sûr, toutes les qualités pour marquer son époque.
www.myspace.com/alistermusic
LE PRINCE MIIAOU
Le Prince Miiaou n’est ni un chat, ni un groupe, mais une fille, Maud-Élisa Mandeau, qui compose des albums post-rock denses et lumineux. Entourée de 3 musiciens sur scène, cette grande timide apprivoise le public grâce à un drôle de déguisement et quelques notes de flûte,
pour les séduire avec son rock raffiné et décalé.
Un peu gauche, naïvement adroite, joliment dégingandée, Le Prince Miiaou n’est pas un chat, n’est pas un garçon, n’est pas un groupe, Le Prince Miiaou est Maud-Elisa MANDEAU, est une fille, est seule. Ce nom de scène, elle l’a choisi dans un livre de contes, sans considération philosophique, anthropologique ou météorologique, il fallait en choisir un. Le Prince Miiaou n’aime pas tellement aller chercher midi à quatorze heures inutilement, parce que premièrement, midi n’est jamais à quatorze heures et deuxièmement, le Prince Miiaou ne porte jamais de montre. En 2002, Maud-Elisa rencontre Norbert Labrousse (son batteur
actuel), maître Yoda, avec qui elle monte un groupe post rock : formation, progression, gestation. En 2006 : stagnation, exaspération, éclosion, Maud-Elisa laisse tout tomber pour faire SA musique et crée Le Prince Miiaou. En 2007 : 10 chansons, un album « Nécessité Microscopique ! » (autoproduit). Pour cet enregistrement on lui présente un violoncelliste : François Pierre Fol ; bluffée par la capacité de ce dernier à comprendre les arrangements de cordes complètement bordéliques qu’elle a composés, elle l’enrôle pour le live. A trois sur scène, 5 concerts, 6 mois. En 2009 : 13 morceaux, un album « safety first » (autoproduit). En 2011, son 3ème album, ”Fill the blank with your own emptiness”, est enregistré dans le studio de sa maison perdue au milieu des vignes, et la fait connaitre du public.
Maud-Elisa bien qu’autodidacte, compose tout ce qui est donné à entendre sur ses albums seule, y compris les batteries, les cordes, les claviers etc. (d’où les mots « tout » et « seule » dans la phrase précédente). Jusque-là, ses clips et photos sont également le fruit de son travail et cette précision lui tient à coeur, parce qu’à quoi bon s’embêter à tout faire toute seule sinon…
www.myspace.com/leprincemiiaou
THE ELDERBERRIES
Les Elderberries débarquent en fracassant la porte avec bruit et fureur. Basses crasseuses, batteries lourdes et guitares rugissantes, le groupe tripode venu du Canada, d'Angleterre et de France offre un rock’n’roll sauvage qui emporte le public.
Après avoir été lauréats du Fair en 2009 avec la sortie de leur album ”Ignorance and Bliss”, c'est la poignée dans l'angle que les Elderberries prennent le virage. Ils débarquent en fracassant la porte avec bruit et fureur accompagnés de leur démo ”Trial and Error”, dégoulinante de basses crasseuses, de batteries lourdes et de guitares rugissantes.
Le monstre tripode venu du Canada, d'Angleterre et de France s'est enfermé dans une cave deux jours durant avec comme mot d'ordre : fast and loud and louder is never loud enough. La recette démoniaque fait effet et donne un gros rock'n'roll sauvage, suintant et fiévreux qui vous vrille les tripes, vous monte à la tête et vous fait appuyer sur la pédale sans vous soucier du mur en face. ”You should have known” nous annonce le titre éponyme de leur dernier 45 tours : Oui, c'est vrai, qu’au vu de leurs prestations scéniques énervées on aurait dû savoir que fatalement, notre platine finirait par cracher des décibels. En attendant la tempête de leur tournée, allez écouter les nouveaux morceaux and play'em FUCKING LOUD !
www.myspace.com/theelderberries
Les prestations scéniques déjantées des Elderberries, le rock esthète et ravageur du Prince Miiaou, la personnalité faussement détachée et vraiment inspirée d’Alister, l’énergie débordante de Skip The Use… De quoi composer en somme un panorama varié et exigeant de la jeune création musicale française !
Concert Ricard S.A Live Music mardi 21 juin 2011 à 19h30 Place Denfert-Rochereau !