Je reste fasciné par la puissance d'évocation du futur que nous offrent les synthétiseurs, instruments de plus en plus virtuels issus de mondes qui ne le sont pas moins. A nous les immensités perdues aux confins des galaxies, les stations orbitales oubliées dans les nébuleuses irradiées de plusieurs soleils, les lunes gazeuses, les vaisseaux-miniers, les lumières incandescentes des aurores éternelles…