Les "bons, meilleurs" titres Country

Rappel du dernier message de la page précédente :
JacJack
Si tu a l'occasion de passer une semaine à St Agrève (07) vers la mi Août, va donc voir le festival Equiblues ( Rodéo, dressage etc ....) ambiance cowboys -western et les soirs concert country , où j'ai pu voir et écouter quelques bonnes formations entre autre :
Dommage pour les vidéos de mauvaise qualité
http://youtu.be/oQOnRst7hXs
http://youtu.be/lQcJeYkVCxQ

Pour l'ambiance : http://youtu.be/gwsL3s8Jvp4
psm1962
Je n'y suis jamais allé mais j'ai entendu parler de St Agrève et j'ai aussi vu Asleep at the Wheel ! à St Gervasy, du coté de Nîmes, il y a un petit festival qui s'est mis en place depuis 2 ans, c'est que du banjo sous toutes ses formes et quelques fous qui font le bœuf pendant 2 jours, c'est super sympa.
Keep on the sunny side of life
Tiens un peu de cajun bien root, tres entrainant a ecouter et en francais de la Louisiane :-)

psm1962
Perso, j'ai un peu de mal avec le cajun, surtout quand c'est des groupes français qui en font ! Les vrais d'Amérique, ça passe encore quand ils posent enfin leurs satanés accordéons



Et en plus, ils copient sur les petits camarades !

Keep on the sunny side of life
rapideyemove
Pour big boy Blaze Foley (1949–1989), une ombre parmi les ombres, et l'ami de Townes,



La reprise de Cold, cold World de Blaze, par Jake Cox, under snow, sittin' on the front porch...
Ça serait un semblant de scène pour le Snowin' on Raton de Townes



Still sittin' here, Clay Pigeon repris par Kristina Murray,



«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
rapideyemove
Pour Blaze encore,



Il faudrait aussi écouter son Oval Room, pour s'assurer des mots doux que Blaze sut trouver pour Ronald Reagan, Caspar Weinberger et autres âmes blanches...

Tiens, ça encore, in the backyard, où il chantait le tohu–bohu, dans la lumière déclinante, pour le mariage de ses amis, autour d'Austin, en 1983, If I could only fly, ce qui était bien autre chose que les simagrées d'un des plus mauvais acteurs français, avec un titre assez proche, «You know sometimes I write happy songs» :



I almost felt you touching me just now
I wish I knew which way to turn and go
I feel so good, and then I feel so bad
I wonder what I ought to do.

If I could only fly,
If I could only fly,
I'd bid this place goodbye, to come and be with you
But I can hardly stand, and I got nowhere to run
Another sinking sun, and one more lonely night.

The wind keeps blowing somewhere everyday
Tell me things get better, somewhere, up the way
Just dismal thinking on a dismal day
And sad songs for us to bare.

You know sometimes I write happy songs
But then sometimes little things are wrong
You know I wish they all could make you smile
Tomorrow maybe we can get away
Coming home soon and I wanna stay
I wish you could come with me when I go again.

If I could only fly,
If I could only fly,
I'd bid this place goodbye, to come and be with you
But I can hardly stand, and I got nowhere to run
Another sinking sun, and one more lonely night

If I could only fly
If you could only fly
If we could only fly
There'd be no more lonely nights.




«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.

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