Ben.oît a écrit :
Suis-je le seul à avoir les yeux qui saignent du fait de la tournure pléonasmique du titre ?
Pour ne pas demeurer la voix solitaire qui clame dans le désert, vois page 8, par exemple, certains plaisantins ; ce n’est pas si loin d’ici
.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.