Paranormal

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Câpitaîne Z
Kreeg a écrit :
Câpitaîne Z a écrit :
Karchaque a écrit :
thierry 4567 a écrit :
Et quant aux calcul d'aire par les intégrales, on commence par les limites (ô ma pov mémoire....) et lorsque que la limite tend vers l'infini comment la résultat du calcul peut-il être "fini" ? (puisque l'on tend vers l'infini...)...


hmm.. je veux pas dire de conneries mais
"l'infini" c'est pas un nombre
si la limite d'une aire tend vers +∞ , c'est qu'elle continue de croître à l'infini vers des valeurs infiniment grandes
si elle tend vers -∞ , elle continue de décroître à l'infini vers des valeurs infiniment petites

c'est comme ça que je rationalise le truc en tout cas


Si je peux me permettre un petite correction, -∞ représente également l'infiniment grand, certes avec des valeurs négatives, mais c'est seulement une question d'orientation. L'infiniment petit apparait quand on s'approche de zéro (0,0000......001).

Non. L'infiniment petit tel qu'il est unanimement défini désigne les nombres les nombres négatifs très grand en valeur absolu, ce qui est logique puisque -inf < 0.0000001 (la relation mathématique représentée par le symbole < se lit "est plus petit que" dans le cas présent).


Excuse moi de persister, mais l'infiniment petit est bien défini pour les valeurs qui tendent vers 0.
Pour prendre un exemple simple, un atome (qu'on peut définir comme infiniment petit) a une taille de l'ordre de 0,0000000001m (je sais pas mettre des exposants ici), et non pas -10000...00m.
Les valeurs négatives ou positives, c'est juste une question d'orientation de l'axe gradué.
Tu as raison quand tu dis que -inf < 0.0000001, mais quand on parle d'infiniment grand ou petit, on parle de "taille" ou "longueur" qui sont définies en norme/valeur absolue.
Lao
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    Lao
    le 30 Nov 2010, 23:11
L'un discute de dimension (non signé) l'autre d'une grandeur scalaire réelle signée. Tous les deux ont raison dans leur échelle respective.
C'est pas cool ça?
Pourquoi tant de haine ?
"Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici que cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. " Henri Laborit.
Kreeg
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    Kreeg
    le 30 Nov 2010, 23:12
Câpitaîne Z a écrit :
Excuse moi de persister, mais l'infiniment petit est bien défini pour les valeurs qui tendent vers 0.
Pour prendre un exemple simple, un atome (qu'on peut définir comme infiniment petit) a une taille de l'ordre de 0,0000000001m (je sais pas mettre des exposants ici), et non pas -10000...00m.
Les valeurs négatives ou positives, c'est juste une question d'orientation de l'axe gradué.
Tu as raison quand tu dis que -inf < 0.0000001, mais quand on parle d'infiniment grand ou petit, on parle de "taille" ou "longueur" qui sont définies en norme/valeur absolue.

On qualifie d'infiniment petit un atome car une taille est un nombre positif. Or, le petit se réfère à la taille de l'objet dans ton exemple. Dans le monde physique, le vrai infiniment petit n'est pas observable, puisqu'il correspond mathématiquement parlant à la définition que j'ai donné plus haut en justifiant mon argument par une simple argumentation. En physique, par abus de langage, la définition n'est pas la même, j'en concède.

_Hazard_ a écrit :
L'un discute de dimension (non signé) l'autre d'une grandeur scalaire réelle signée. Tous les deux ont raison dans leur échelle respective.
C'est pas cool ça?

On est d'accord en fait, s'il avait précisé un peu plus, nous serions tombé d'accord plus vite. Ceci dit un réel n'est pas une valeur scalaire. C'est vrai en programmation mais pas dans la vie réelle
Patchuko
Kreeg a écrit :
Concernant le fait que ce soit un concept abstrait, songe aux nombres négatifs. Ils ne sont pas plus observables que les nombres complexes. Et pourtant, est-ce que ça t'empêche d'en avoir l'utilité ?

Et au passage : 0, 1 ou 2 ne sont pas moins abstraits...

Enfin à mon avis THE solution pour éviter de dire des absurdités c'est ce qui a été proposé plus haut : ne pas ouvrir sa gueule en clamant que c'est n'importe quoi quand on ne sait pas de quoi on parle.
C'est le cas d'école du proverbe sur la culture et la confiture là.
zigmout
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pour les nombres imaginaires on les utilise en électromagnétisme pour certains calcul et surement d'autre domaine mais je me souvient qu'en fac de physique on les utilisais de manière concrète.

Citation:
Déjà que je ne comprends pas en musique pourquoi entre Si et Do il n'y a qu'un 1/2 ton idem entre Mi et Fa alors qu'entre Sol et La, il y a un ton entier?

...et il n'aurait pas fait ca que tu dirais...."pinaise ils sont bete, on se sert avant tout de gamme a 7 notes du coup pourquoi il n'ont pas essayer de rendre ca palpable dans la notation."

de plus imagine la tete de la portée...on aurait nettement plus de ligne et ca compliquerait pas mal de chose.

sinon dans un accord c'est tout de meme bien de sentir que la tiere est une meme note baissé ou elevé et de pas avoir l'impression qu'entre un la maj et un la min on à une note complétement different...dans notre notation on sens bien que ca reste une tiere etc etc...

bref imagine sans et tu verras que ca compliquerait bien des choses
Kreeg
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    Kreeg
    le 30 Nov 2010, 23:25
Patchuko a écrit :
Kreeg a écrit :
Concernant le fait que ce soit un concept abstrait, songe aux nombres négatifs. Ils ne sont pas plus observables que les nombres complexes. Et pourtant, est-ce que ça t'empêche d'en avoir l'utilité ?

Et au passage : 0, 1 ou 2 ne sont pas moins abstraits...

Tu ne vois pas directement les nombres, certes. Par contre, on sait qu'à la base ils ont été inventés pour compter. Tu peux compter positivement (pas strictement), mais tu ne peux ni compter en négatif, ni en complexe. Dans l'absolu, ces nombres sont ne ni plus ni moins abstraits que les hypercomplexes. Ceci dit, relativement à la personne de thierry5734, ils sont plus concrets (donc moins abstraits) que des nombres négatifs. C'est en cela que je disais qu'ils sont observables. Je me suis exprimé de manière trop peu rigoureuse, j'en suis désolé.

zigmout a écrit :
bref imagine sans et tu verras que ca compliquerait bien des choses

Faux. Nous aurions d'autres notations, d'autres règles d'harmonie... Il ne faut pas oublier que la notation classique de la musique apprise en cours de solfège est une convention. Les théoriciens de la musiques qui en sont les auteurs auraient trouvé autre chose. La portée telle que nous la connaissons n'existerait peut être pas.
Câpitaîne Z
Kreeg a écrit :
Câpitaîne Z a écrit :
Excuse moi de persister, mais l'infiniment petit est bien défini pour les valeurs qui tendent vers 0.
Pour prendre un exemple simple, un atome (qu'on peut définir comme infiniment petit) a une taille de l'ordre de 0,0000000001m (je sais pas mettre des exposants ici), et non pas -10000...00m.
Les valeurs négatives ou positives, c'est juste une question d'orientation de l'axe gradué.
Tu as raison quand tu dis que -inf < 0.0000001, mais quand on parle d'infiniment grand ou petit, on parle de "taille" ou "longueur" qui sont définies en norme/valeur absolue.

On qualifie d'infiniment petit un atome car une taille est un nombre positif. Or, le petit se réfère à la taille de l'objet dans ton exemple. Dans le monde physique, le vrai infiniment petit n'est pas observable, puisqu'il correspond mathématiquement parlant à la définition que j'ai donné plus haut en justifiant mon argument par une simple argumentation. En physique, par abus de langage, la définition n'est pas la même, j'en concède.

_Hazard_ a écrit :
L'un discute de dimension (non signé) l'autre d'une grandeur scalaire réelle signée. Tous les deux ont raison dans leur échelle respective.
C'est pas cool ça?

On est d'accord en fait, s'il avait précisé un peu plus, nous serions tombé d'accord plus vite. Ceci dit un réel n'est pas une valeur scalaire. C'est vrai en programmation mais pas dans la vie réelle


Décidémment je vais passer pour un con obtus, mais je pense toujours pas qu'on soit d'accord.
Que tu parles d'infiniment négatif OK (si ça a un sens), mais pour dire que quelque chose est petit ou grand il te faut une norme (et pas seulement un ordre, qui te permet de dire A > B mais pas |A| > |B|), sinon suivant le coté depuis lequel tu "regardes", un objet sera soit grand soit petit. Or toute norme est définie en valeur absolue, justement pour éviter ce genre de "problème".
Je pourrais tenter de rentrer dans des explications plus complexes (si je puis me permettre) mais je risquerai de m'embrouiller autant que vous et puis j'ai un peu la flemme quand meme.

Apres ça vaut ce que ça vaut : http://fr.wikipedia.org/wiki/I(...)petit
Kreeg
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    Kreeg
    le 30 Nov 2010, 23:47
Câpitaîne Z a écrit :
Kreeg a écrit :
Câpitaîne Z a écrit :
Excuse moi de persister, mais l'infiniment petit est bien défini pour les valeurs qui tendent vers 0.
Pour prendre un exemple simple, un atome (qu'on peut définir comme infiniment petit) a une taille de l'ordre de 0,0000000001m (je sais pas mettre des exposants ici), et non pas -10000...00m.
Les valeurs négatives ou positives, c'est juste une question d'orientation de l'axe gradué.
Tu as raison quand tu dis que -inf < 0.0000001, mais quand on parle d'infiniment grand ou petit, on parle de "taille" ou "longueur" qui sont définies en norme/valeur absolue.

On qualifie d'infiniment petit un atome car une taille est un nombre positif. Or, le petit se réfère à la taille de l'objet dans ton exemple. Dans le monde physique, le vrai infiniment petit n'est pas observable, puisqu'il correspond mathématiquement parlant à la définition que j'ai donné plus haut en justifiant mon argument par une simple argumentation. En physique, par abus de langage, la définition n'est pas la même, j'en concède.

_Hazard_ a écrit :
L'un discute de dimension (non signé) l'autre d'une grandeur scalaire réelle signée. Tous les deux ont raison dans leur échelle respective.
C'est pas cool ça?

On est d'accord en fait, s'il avait précisé un peu plus, nous serions tombé d'accord plus vite. Ceci dit un réel n'est pas une valeur scalaire. C'est vrai en programmation mais pas dans la vie réelle


Décidémment je vais passer pour un con obtus, mais je pense toujours pas qu'on soit d'accord.
Que tu parles d'infiniment négatif OK (si ça a un sens), mais pour dire que quelque chose est petit ou grand il te faut une norme (et pas seulement un ordre, qui te permet de dire A > B mais pas |A| > |B|), sinon suivant le coté depuis lequel tu "regardes", un objet sera soit grand soit petit. Or toute norme est définie en valeur absolue, justement pour éviter ce genre de "problème".
Je pourrais tenter de rentrer dans des explications plus complexes (si je puis me permettre) mais je risquerai de m'embrouiller autant que vous et puis j'ai un peu la flemme quand meme.

Apres ça vaut ce que ça vaut : http://fr.wikipedia.org/wiki/I(...)petit

Nous sommes d'accord. Tu dis "infiniment petit" avec le même sens qu'"infinitésimal". Le petit se réfère dans ton cas à une dimension, comme l'a dit notre camarade. En maths, en revanche, quand ma prof disait infiniment petit, c'était pour désigner les nombres très grands en valeur absolue. Notre désaccord provient du référentiel dans lequel nous nous étions placé qui était différent

EDIT : Si l'article de WP dit vrai, alors j'ai tort et ma prof de maths aussi. Ceci dit, nous ne sommes pas les seuls.
BiZ
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    BiZ
    le 01 Déc 2010, 09:47
zigmout a écrit :
pour les nombres imaginaires on les utilise en électromagnétisme pour certains calcul et surement d'autre domaine mais je me souvient qu'en fac de physique on les utilisais de manière concrète.

Les nombres complexes ca n'est rien d'autre qu'un espace vectoriel a deux dimensions. Bien pratique pour une resolution numerique de pas mal de problemes dans le plan, que ce soient des problemes d'ondes ou autres.
If you think life's a vending machine, where you put in virtue
And you get out happiness, then you're probably gonna be disappointed.

marseillet: ben,oui.j'assume complètement mon status de parasite de la société.
et comme les français ont choisi de faire dans le social,c'est pas demain que je vais prendre le chemin de la boite!!!!!
JumpingJack
thierry 4567 a écrit :
Si i ne fait pas partie des nombres réels, cela sous-entend bien que les mathématiques utilisent des nombres irréels ? Et utiliser des nombres irréels c'est pourtant bien faire un petit pas dans le paranormal (entre guillemets j'entends) ? N'est-ce point alors un comble pour les mathématiques que l'on conçoit comme un "concept absolu et rationnel" ?
Il est où le smiley "facepalm" ? Ah, sinon y'a celui là :

Les nombres "réels", c'est juste un nom qu'on a donné a un certain ensemble de nombres. On aurait très bien pu les appeler les nombres "Bernard", ça n'aurait rien changé au fonctionnement de cet ensemble. Et on aurait aussi pu appeler les complexes "José" et les immaginaires purs "Abdel", ce sont juste des dénominations, qui n'ont rien à voir avec la signification originale de ces mots. On s'en sert pour désigner certains ensembles de nombres, qui sont tous aussi abstraits les uns que les autres, car c'est un peu le principe des maths.

Maintenant tu retournes à ta boule de cristal, et tu t'abstiens de dire n'importe quoi sur des sujets que tu ne connais pas.
GuitaristeX
Citation:
Et on aurait aussi pu appeler les complexes "José" et les immaginaires purs "Abdel"


Raciste ! mdr
zigmout
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Kreeg a écrit :


zigmout a écrit :
bref imagine sans et tu verras que ca compliquerait bien des choses

Faux. Nous aurions d'autres notations, d'autres règles d'harmonie... Il ne faut pas oublier que la notation classique de la musique apprise en cours de solfège est une convention. Les théoriciens de la musiques qui en sont les auteurs auraient trouvé autre chose. La portée telle que nous la connaissons n'existerait peut être pas.


??? non les regles serraient les memes...le son de quintes parallèles serait le meme quel que soit le système d'écriture...de plus il ne faut pas oublier que si c'est ce systeme qui a ete retenu au fil du temps c'est bien parce que c'etait celui qui offrait plus d'avantage....et il a evolué.
D'ailleurs avant ce n'etait pas le même...regarde par exemple des partition de chant grégorien tu verras que souvent c'est 4 lignes et que plusieurs choses sont différentes.

Et c'ets pas des théoriciens qui dans leur coin on inventé ca...c'est des pratiques qui se sont installées au fil des siecles...
j'adore les gens qui arrivent en disant "faux"...d'ailleurs je peux te dire avoir tester d'autre systeme d'ecriture ...c'est ton cas?

C'ets comme les gens qui n'y connaissant rien et qui disent...oulala les clef de sol de fa d'ut c'est completement idiots alors que ca serrait plus facil avec que des clef de sol...ben ce n'est penser qu'a leur cas car et d'une il y a une logique tres simple derriere ca et que c'ets penser de maniere generale et pas juste pour lui ou lui ou elle et ca a une vrai utilité.

Donc au lieu de dire faux...trouve un système plus intelligent et on en reparle...et je peux te dire que beaucoup y ont pensé et que pour l'instant c'ets toujours ce système qui s'avère le plus pratique pour les musique dites"normale".

Apres en musique dites contemporaines il y a d'autre chose mais pitié...sortir un simple"faux" quand on ne sait peut tre pas forcement de quoi on parle et surtout en commençant par une idée comme quoi changer de systeme changerais l'harmonie en elle meme c'ets juste heu...marrant....tu sais en math qu'on soit en decimal , en hexa, en base de 12 etc les règles reste finalement les même.

à 19ans c'ets bien d'avoir un minimum d'humilité...tu peux tres bien avoir raison mais tres cher on arrive pas en disant "non" de maniere affirmative alors que je suis pas sur que t'es eu le temps de vraiment expérimenter ou etudier toute ces chose...surtout en debutant par une affirmation

Ecris pour orchestre , pour guitare et autre d'instru, de la musique tonale, atonal ancienne, moderne etc et apres on en reparle

Ceci dis, je ne dis pas que le systeme d'ecriture est parfait mais il resiste assez facilement aux critiques du premier venu...
Josh43
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BiZ a écrit :
zigmout a écrit :
pour les nombres imaginaires on les utilise en électromagnétisme pour certains calcul et surement d'autre domaine mais je me souvient qu'en fac de physique on les utilisais de manière concrète.

Les nombres complexes ca n'est rien d'autre qu'un espace vectoriel a deux dimensions. Bien pratique pour une resolution numerique de pas mal de problemes dans le plan, que ce soient des problemes d'ondes ou autres.


C'est aussi et surtout le seul corps numérique algébriquement clos (du moins c'est celui dont la construction est la plus intuitive) : d'ou la grande importance de C dans la théorie.

Thierry, sérieusement, suis le conseil de Jumpingjack et laisse tomber tout ça.... A moins que tu ne sois en train de découvrir que la science et ceux qui la pratiquent ont souvent beaucoup, beaucoup plus d'imagination et d'ouverture d'esprit que bien des tenants du "paranormal"...

c'est pas une insulte: je connais des gens qui n'ont pas encore compris ça à 50 balais: oui, les mathématiciens et les physiciens sont capables d'imaginer des nombres complexes, des sommes infinies ou des espaces à n dimensions, et même de faire des calculs dessus, sans avoir recours au paranormal ou à l'ésothérisme. Voilà ce qui m'énerve avec les gens qui parlent à longueur de journée de paranormal: nde, extraterresstres, telepathie, voyance etc...

Quel manque d'imagination... penser que les mystères de la nature se cachent encore dans des phénomènes aussi vulgaires, c'est d'un triste.... Alors qu'il y a tellement de questions fascinantes et largement plus innovantes posées par la sciences... Seulement ça implique de faire fonctionner la boite à neuronne. Alors on préfère en rester à ses histoires de fantômes et à ses sornettes de grand mère du siècle dernier. Les paranormalistes sont les gens les plus conservateurs et les moins imaginatifs que je connaisse: ils se bornent à raconter encore et toujours les mêmes histoires depuis 150 ans et ne semblent jamais devoir s'en lasser.

un matheux ou un astrophysicien, lui, a des mystères beaucoup plus insondables et beaucoup plus fascinants à résoudre au quotidien... mais on va le traiter de cartésien minable, de rat de labo sans imagination. Quel monde débile.
*: NOBODY EXPECTS THE SPANISH INQUISITION!
zigmout
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c'ets clair qu'imaginer des atomes, le corps noir ou encore des theories comme la theorie des cordes c'est bien plus imaginatif, et apparemment surréaliste que le paranormal...les gens prônant le paranormal croient élargir le monde alors qui ne font que l'encapsuler c'est juste triste a vrai dire et vraiment sans imagination.
JHEX
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  • #824
  • Publié par
    JHEX
    le 01 Déc 2010, 17:00
Bon, je me suis arreté y a 4 ou 5 pages donc désolé si je fais écho.

Dans sa question sur les intégrales, Thierry confond le mot "numériques" avec "finis". Il se demande donc comment on peut tomber sur un nombre au lieu de "+infini" (j'ai pas dit que la question était pertinante).


De plus, Thierry , j'ai pas dit que les maths étaient la science du vrai mais une science vraie. Parce qu'abstraite et logiquement vraie. Ce qui signifie que les liens logiques qu'elle emploie sont imuables.


La dernière fois on a disserté sur dix pages avec Gilhou, GX et d'autres, et contrairement à ce que tu dis (y a quelques pages), ce qu'on peut en déduire c'est que les mathématiques ne sont pas (plus) une science que je privilégie.
"Aucune idée sur terre est digne d'un trépas
Il faut laisser ce rôle à ceux qui n'en ont pas"
Kreeg
  • Kreeg
  • Custom Cool utilisateur
  • #825
  • Publié par
    Kreeg
    le 01 Déc 2010, 19:07
zigmout a écrit :
Kreeg a écrit :


zigmout a écrit :
bref imagine sans et tu verras que ca compliquerait bien des choses

Faux. Nous aurions d'autres notations, d'autres règles d'harmonie... Il ne faut pas oublier que la notation classique de la musique apprise en cours de solfège est une convention. Les théoriciens de la musiques qui en sont les auteurs auraient trouvé autre chose. La portée telle que nous la connaissons n'existerait peut être pas.


??? non les regles serraient les memes...le son de quintes parallèles serait le meme quel que soit le système d'écriture...de plus il ne faut pas oublier que si c'est ce systeme qui a ete retenu au fil du temps c'est bien parce que c'etait celui qui offrait plus d'avantage....et il a evolué.
D'ailleurs avant ce n'etait pas le même...regarde par exemple des partition de chant grégorien tu verras que souvent c'est 4 lignes et que plusieurs choses sont différentes.

Et c'ets pas des théoriciens qui dans leur coin on inventé ca...c'est des pratiques qui se sont installées au fil des siecles...
j'adore les gens qui arrivent en disant "faux"...d'ailleurs je peux te dire avoir tester d'autre systeme d'ecriture ...c'est ton cas?

C'ets comme les gens qui n'y connaissant rien et qui disent...oulala les clef de sol de fa d'ut c'est completement idiots alors que ca serrait plus facil avec que des clef de sol...ben ce n'est penser qu'a leur cas car et d'une il y a une logique tres simple derriere ca et que c'ets penser de maniere generale et pas juste pour lui ou lui ou elle et ca a une vrai utilité.

Donc au lieu de dire faux...trouve un système plus intelligent et on en reparle...et je peux te dire que beaucoup y ont pensé et que pour l'instant c'ets toujours ce système qui s'avère le plus pratique pour les musique dites"normale".

Apres en musique dites contemporaines il y a d'autre chose mais pitié...sortir un simple"faux" quand on ne sait peut tre pas forcement de quoi on parle et surtout en commençant par une idée comme quoi changer de systeme changerais l'harmonie en elle meme c'ets juste heu...marrant....tu sais en math qu'on soit en decimal , en hexa, en base de 12 etc les règles reste finalement les même.

à 19ans c'ets bien d'avoir un minimum d'humilité...tu peux tres bien avoir raison mais tres cher on arrive pas en disant "non" de maniere affirmative alors que je suis pas sur que t'es eu le temps de vraiment expérimenter ou etudier toute ces chose...surtout en debutant par une affirmation

Ecris pour orchestre , pour guitare et autre d'instru, de la musique tonale, atonal ancienne, moderne etc et apres on en reparle

Ceci dis, je ne dis pas que le systeme d'ecriture est parfait mais il resiste assez facilement aux critiques du premier venu...

Tu as raison, et je me suis trompé dans mon affirmation que tu as raison de qualifier de prétentieuse ; cela compliquerait en effet bien des choses de changer de système (j'ai plusieurs idées en tête). Tu avoueras que cela pourrait en simplifier bien d'autres. En virant l'armure, on simplifierait la lecture, par exemple. Combiner ce changement à l'utilisation de 12 notes au lieu de 7 permettrait de se débarrasser des altérations. Pour l'interprétation, tu me concèderas que ce serait plus simple. Tu pourrais noter tout sur une ligne : tu dessines ta figure de note, et tu inscris à l'intérieur du rond la note ainsi que son numéro d'octave, cela permettrait de se débarrasser de la notion d'instrument transpositeur.

Si au lieu d'avoir 7 notes nous en avions 12 différentes, on ne calculerait pas les intervalles de la même manière, par exemple. C'est un exemple de ce que j'avais en tête quand je disais que les règles harmoniques auraient changé. Le terme quinte a du sens parce qu'entre la tonale et la quinte incluses il y a 5 notes (c'est comme ça que j'ai appris à calculer). Si on en venait à utiliser 12 notes, le calcul ne s'effectuerait plus de la même manière, même si une quinte serait musicalement équivalente au nouveau concept introduit. Le terme de "règle harmonique" est peut être erroné, mais l'idée est là.

Je sais bien que ceux qui écrivent la musique ont tout intérêt à garder la notation actuelle, qui porte plus de sens qu'une notation sémantiquement appauvrie. Pour ceux qui interprètent, toutefois, la partition pourrait être plus lisible. Il suffit de voir combien d'années de solfège sont nécessaires à un instrumentiste de conservatoire pour maîtriser totalement la notation classique, preuve que cette notation n'avantage pas tout le monde...

Je pense que le sujet est vaste et très intéressant. Que dis tu d'en débattre dans un nouveau sujet ?

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