damonp a écrit :
KongLeChinois a écrit :
Nous autres Français avons toujours été du cote des indiens :
ça n'a pas empêché meurtres viols & co, et pourquoi nous avons été du côté des indiens, ambitions
non parce ce que les Français ne souhaitaient pas conquerir de territoires, ils voulaient juste conclure des traitées de commerce et ouvrir des comptoirs rien de plus (comme en inde où nous avions 5 comptoirs et rien de plus)
« La civilisation espagnole a écrasé les Indiens ; la civilisation anglaise les a méprisés et négligés ; la civilisation française les a enlacés et chéris. - Francis Parkman
« Toutes les nations indiennes ont été convoquées et invitées à se rejoindre pour aider les Français à repousser les Britanniques qui venaient de les chasser des terres qu'ils possédaient4. »
Les troupes françaises et indiennes ont été combinées dans des offensives contre les Britanniques. En juillet 1757, Montcalm a réuni un groupe de 6 000 soldats et 2 000 Indiens à la bataille de Fort William Henry.
Longtemps après la disparition de la Nouvelle-France en 1763, les communautés franco-indienne[/b] maintiennent, la pratique de la foi catholique, parlent français et utilisent des noms français. Du Saint-Laurent au Mississippi, des communautés françaises cosmopolites accueillent des Indiens et les Noirs
https://fr.wikipedia.org/wiki/(...)enne_(Amérique)
« Quand Champlain et ses compagnons arrivèrent sur la Pointe, les Indiens étaient en train de faire tabagie. Ils fêtaient une récente victoire remportée sur les Iroquois et, comme preuve, ils exhibèrent aux yeux des Français plus de cent crânes sanglants qu'ils avaient remportés de leur expédition à l'entrée de la Rivière-des-Iroquois. Champlain et Pontgravé avaient ramené avec eux deux Indiens qui avaient suivi Pontgravé en France, lors d'un récent voyage. Ils furent les interprètes entre les Français et les sauvages. Adanabijou, le chef de ces derniers, reçut très aimablement les voyageurs et il les fit asseoir à côté de lui. L'un des sauvages rapatriés prononça alors un grand discours. Il raconta toutes les merveilles qu'il avait vues en France et les bons traitements dont il avait été l'objet. Adanabijou fit ensuite distribuer du petun et, quand tout le monde eut fumé dans le calumet de la paix, le chef fit à son tour une longue harangue dans laquelle il se félicitait d'avoir su conquérir l'amitié du Français. Puis, le festin se continua : on mangea, on chanta et l'on dança jusques près du matin6. »
— Damase Potvin
« Français et Indiens se firent des déclarations d’amitié réciproque. L’un des deux Indiens que Gravé avait déjà emmenés avec lui en France parla de son séjour là-bas et de l’accueil amical que le roi de France lui avait fait, donnant l’assurance que le roi voulait peupler leur pays et qu’il les aiderait à vaincre leurs ennemis. Anadabijou exprima sa satisfaction, soulignant « les avantages qu’ils [les Indiens] pourraient compter recevoir de Sa Majesté ». Le festin de la victoire se poursuivit et l’on consomma de huit à dix grandes marmites de viande d’orignal, d’ours, de phoque, de castor et de gibier d’eau. Le lendemain, Anadabijou transporta ses gens en canots jusqu’à Tadoussac où, quelque deux semaines plus tard, ils recommencèrent la fête en compagnie de leurs alliés algonquins et etchemins. »