Depuis 1976, il y a eu des avancées légères par rapport au statut juridique précédent qui les considérait au même titre que les meubles !
Il reste beaucoup a faire, et ce n'est pas vraiment une préoccupation politique, a part pour le parti animaliste qui reste ultra minoritaire aux élections...
Citation:
« C’est toute l’ambiguïté du Code civil, qui ne qualifie plus l’animal de “bien” mais d’“être vivant”, tout en continuant à l’affilier au régime des biens »
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« Certains objectent que les droits sont toujours assortis de devoirs, et que c’est ce qui empêche d’attribuer une personnalité juridique aux animaux, explique Léa Mourey.
Mais les humains les plus faibles, certains adultes sous tutelle, ou encore les très jeunes enfants, se voient reconnaître les mêmes droits que l’ensemble des êtres humains sans être en mesure d’observer des devoirs en retour, comme le rappelait dès les années 1970 le philosophe australien Peter Singer.
On pourrait donc s’inspirer de leur statut particulier. »