Les faits d'actualité.

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Agent_Gibs
Kandide a écrit :
Agent_Gibs a écrit :
Kandide a écrit :
Développer la compassion, la prise de conscience de la souffrance d'autrui,...
Montrer que l'amour de la vie et des autres est possible...

Je suis assez utopiste... mais s'il y avait un peu plus d'amour en ce bas monde peut-être y aurait-il moins de psychopathe...

Heureusement que tu es là pour nous proposer des pistes de réflexion !
Uh uh !

C’est g.conm ici, pas un club de philosophie
lifsebcbien
Kandide a écrit :
Développer la compassion, la prise de conscience de la souffrance d'autrui,...
Montrer que l'amour de la vie et des autres est possible...

Je suis assez utopiste... mais s'il y avait un peu plus d'amour en ce bas monde peut-être y aurait-il moins de psychopathe...


L'empathie, en plus de ne rien coûter, fait un grand bien à ceux qui souffrent d'une quelconque manière quand elle est exprimée. Et je ne parle pas de gens au bout du monde, il y en a autour de chacun de nous. L'empathie, cela me semble utile de le préciser, ce n'est pas plaindre l'autre à tout bout de champ pour tout et n'importe quoi, c'est la capacité de pouvoir se mettre à la place de l'autre et, prenant ainsi conscience de ce que l'on aimerait entendre dans sa situation, savoir communiquer sa compréhension et son intérêt pour la souffrance de l'autre et ainsi apporter du réconfort.
Tant que l'on n'est pas soi-même touché par une souffrance (ou quelqu'un de son entourage proche à qui on est attaché), il est difficile d'en mesurer l'impact. C'est une qualité qui vient avec la maturité, même, je pense, pour les petits trous du c' nombrilistes qui, à moins d'avoir des carences psychologiques de sociopathes, y viendront un jour.

La question du patrimoine génétique est à mon avis au contraire une piste éventuelle, la part d'inné, en plus de la part d'acquis, étant clairement démontrée dans certains cas. Le phénotype n'est à mon avis pas seulement physique, le comportement inné est probablement à la base issu du génotype, l'ADN poubelle ayant sans aucun doute une utilité.
Biosmog
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Avant de se poser la question de l'inné, on peut déjà se pencher sur le contexte relationnel et affectif dans lequel certains psychopathes se sont développés. On peut certes trouver un gène de l'handicap relationnel et donc de la monstruosité. Mais un monstre n'est pas encore forcément dangereux.

Ce raccourci psychopathes-criminel montre qu'on vit une époque extrêmement normative. Au point même qu'elle passe son temps à dénier la charge morale continuelle qu'elle applique à chacune de ses pseudo-provocations (il n'y a pas plus prescripteur qu'un 2e degré). Mais qu'elle refuse clairement la vraie différence, celui qui ne "fonctionne" pas.
Vous battez pas, je vous aime tous
Invité
Biosmog a écrit :
Avant de se poser la question de l'inné, on peut déjà se pencher sur le contexte relationnel et affectif dans lequel certains psychopathes se sont développés. On peut certes trouver un gène de l'handicap relationnel et donc de la monstruosité. Mais un monstre n'est pas encore forcément dangereux.


Un psychopathe n'est d'ailleurs pas forcément un tueur ... j'en connais qui sont très fréquentables (ils sont pervers, en réalité ... mais psychopathe recouvre à peu près le même profil)

Parler de "handicap relationnel" est un jugement de valeur - qui n'a donc rien d'un étiquetage strictement "clinique". La plupart des psychopathes sont d'ailleurs parfaitement capable de jouer le jeu social de façon éblouissante
Supposer que les relations à l'autre et à l'Autre soient déterminés génétiquement pose quelque difficulté : cela suppose que le gène "connaisse" l'idée d'un autre ou d'un Autre
Evoquer le contexte relationnel est une bonne idée ... mais très vague : la question est de savoir ce qui détermine notre attachement à certaines lois morales - au point que les transgresser peut conduire à un trauma chez les gens dits "normaux"... alors que le psychopathe considère ça comme une obligation morale
Biosmog
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quantat a écrit :
Biosmog a écrit :
Avant de se poser la question de l'inné, on peut déjà se pencher sur le contexte relationnel et affectif dans lequel certains psychopathes se sont développés. On peut certes trouver un gène de l'handicap relationnel et donc de la monstruosité. Mais un monstre n'est pas encore forcément dangereux.


Un psychopathe n'est d'ailleurs pas forcément un tueur ... j'en connais qui sont très fréquentables (ils sont pervers, en réalité ... mais psychopathe recouvre à peu près le même profil)

Parler de "handicap relationnel" est un jugement de valeur - qui n'a donc rien d'un étiquetage strictement "clinique". La plupart des psychopathes sont d'ailleurs parfaitement capable de jouer le jeu social de façon éblouissante
Supposer que les relations à l'autre et à l'Autre soient déterminés génétiquement pose quelque difficulté : cela suppose que le gène "connaisse" l'idée d'un autre ou d'un Autre
Evoquer le contexte relationnel est une bonne idée ... mais très vague : la question est de savoir ce qui détermine notre attachement à certaines lois morales - au point que les transgresser peut conduire à un trauma chez les gens dits "normaux"... alors que le psychopathe considère ça comme une obligation morale


Mon allusion au gène concernait l'autisme. Il y a des recherches dans ce sens. L'autiste est une forme de psychopathe moins marquée symboliquement dans les représentations communes.
Vous battez pas, je vous aime tous
Masha
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quantat a écrit :

Un psychopathe n'est d'ailleurs pas forcément un tueur ... j'en connais qui sont très fréquentables (ils sont pervers, en réalité ... mais psychopathe recouvre à peu près le même profil)


Il y a des pervers fréquentables ?

En tout cas, les pervers.es narcissiques sont d'une toxicité
Postez des recettes, bordayl de merde.

Fâchez-vous comme vous voulez, je m'en fous.
Invité
Biosmog a écrit :
quantat a écrit :
Biosmog a écrit :
Avant de se poser la question de l'inné, on peut déjà se pencher sur le contexte relationnel et affectif dans lequel certains psychopathes se sont développés. On peut certes trouver un gène de l'handicap relationnel et donc de la monstruosité. Mais un monstre n'est pas encore forcément dangereux.


Un psychopathe n'est d'ailleurs pas forcément un tueur ... j'en connais qui sont très fréquentables (ils sont pervers, en réalité ... mais psychopathe recouvre à peu près le même profil)

Parler de "handicap relationnel" est un jugement de valeur - qui n'a donc rien d'un étiquetage strictement "clinique". La plupart des psychopathes sont d'ailleurs parfaitement capable de jouer le jeu social de façon éblouissante
Supposer que les relations à l'autre et à l'Autre soient déterminés génétiquement pose quelque difficulté : cela suppose que le gène "connaisse" l'idée d'un autre ou d'un Autre
Evoquer le contexte relationnel est une bonne idée ... mais très vague : la question est de savoir ce qui détermine notre attachement à certaines lois morales - au point que les transgresser peut conduire à un trauma chez les gens dits "normaux"... alors que le psychopathe considère ça comme une obligation morale


Mon allusion au gène concernait l'autisme. Il y a des recherches dans ce sens. L'autiste est une forme de psychopathe moins marquée symboliquement dans les représentations communes.


D'habitude on "classe" les autistes parmi les psychotiques
mais je crois que tu as raison sur l'essentiel : l'autisme ( au moins dans certaines de ses formes) serait bien d'origine génétique
Invité
Masha a écrit :
quantat a écrit :

Un psychopathe n'est d'ailleurs pas forcément un tueur ... j'en connais qui sont très fréquentables (ils sont pervers, en réalité ... mais psychopathe recouvre à peu près le même profil)


Il y a des pervers fréquentables ?

En tout cas, les pervers.es narcissiques sont d'une toxicité


les prêtres

(sinon il existe des perversions dont l'objet n'est pas forcément criminel)
numero27
Faut les laisser faire > topic sélection naturelle
Kandide
quantat a écrit :
(sinon il existe des perversions dont l'objet n'est pas forcément criminel)



Ouf ! ça me rassure... car moi les talons aiguilles, les bas, les collants, j'ai l'impression d'être un pervers...

Sans doute que je confonds fétichisme et perversion...
PEACE & LOVE
Invité
Kandide a écrit :
quantat a écrit :
(sinon il existe des perversions dont l'objet n'est pas forcément criminel)



Ouf ! ça me rassure... car moi les talons aiguilles, les bas, les collants, j'ai l'impression d'être un pervers...

Sans doute que je confonds fétichisme et perversion...


Le fétichisme est une forme (parmi des centaines) de perversion
T'es peut-être seulement un drag queen qui s'ignore ?
Kandide
quantat a écrit :

Le fétichisme est une forme (parmi des centaines) de perversion
T'es peut-être seulement un drag queen qui s'ignore ?


Mince...
PEACE & LOVE
Invité
Mince ou grosse, assume toi telle que tu es ...

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