Faits divers: insolites / gores / amusants / cocasses

A propos de ta source "fiable", c'est un artifice classique de ce genre de trucs. j'ai moi même colporté une histoire marrante d'un type qui après avoir percuté un kangourou en Australie a eu l'idée de faire enfilé au kangourou mort son perfecto et de prendre une photo, seulement le kangourou se réveille et se barre avec le perf (et ce qu'il contient, papiers, CB, etc...) le type a du aller voir les flics, leur expliquer qu'un kangourou se promène quelque part avec son perfecto et tous ses papier, les flics partent donc en hélico à la recherche de l'animal et l'abattent au fusil.
Le pote qui m'a raconté ça m'avait dit que c'était arrivé à un copain de sa soeur (que je ne connais pas) et que la soeur avait vu la photo. Cette simple astuce réthorique, invérifiable pour moi, a suffit à m'y faire croire dur comme fer jusqu'à ce que je le raconte à un autre pote (qui ne connaissait ni la soeur n le copain) qui m'a dit qu'il la connaissait déjà...

d'autant plus que c'est l'histoire d'un film : Kangourou Jack

http://www.allocine.fr/film/fi(...).html

un autre :

" Riad Tallim, procureur de la Couronne dans un tribunal d'Ottawa, au Canada, avait trop de mal a cacher son hilarité pour se montrer sévère envers le prévenu. Il faut dire que Justin Lewtry, 23 ans, ne pensait pas commettre un grand crime en piratant la ligne téléphonique du magasin situé sous son appartement, à Ottawa, au Canada. Après tout, son mobile était en panne; et il avait vraiment besoin de joindre sa petite amie. Alors, après la fermeture du Blue Moon Video, un sex-shop, Lewtry se mit à percer des trous dans son plancher, cherchant la ligne. "L'inculpé a fini par en trouver une, a expliqué Riad Tallim au tribunal, et la couper. Hélas pour lui, il ne s'agissait pas de la ligne téléphonique, mais du fil de...l'alarme. Ensuite, la sirène de l'alarme a fait peur au chat de l'inculpé, qui est tombé par le trou. En se penchant pour essayer de rattraper l'animal , il est lui-même tombé dans le sex-shop. Incapable d'en sortir, il a été arrêté par les policiers alertés par l'alarme."Sans doute émue par tant de malchance, la juge Lise Maisonnneuve ne lui a infligé que douze mois avec sursis, et l'obligation de donner 300 dollars à une oeuvre charitable."

(ps : désolé si mon histoire avec le cadavre a choqué des gens)

A propos de ta source "fiable", c'est un artifice classique de ce genre de trucs. j'ai moi même colporté une histoire marrante d'un type qui après avoir percuté un kangourou en Australie a eu l'idée de faire enfilé au kangourou mort son perfecto et de prendre une photo, seulement le kangourou se réveille et se barre avec le perf (et ce qu'il contient, papiers, CB, etc...) le type a du aller voir les flics, leur expliquer qu'un kangourou se promène quelque part avec son perfecto et tous ses papier, les flics partent donc en hélico à la recherche de l'animal et l'abattent au fusil.
Le pote qui m'a raconté ça m'avait dit que c'était arrivé à un copain de sa soeur (que je ne connais pas) et que la soeur avait vu la photo. Cette simple astuce réthorique, invérifiable pour moi, a suffit à m'y faire croire dur comme fer jusqu'à ce que je le raconte à un autre pote (qui ne connaissait ni la soeur n le copain) qui m'a dit qu'il la connaissait déjà...

en gros on s'est fait prendre pour des cons...

mercredi 4 mai 2005, 23h22

Un pompier américain accidenté retrouve parole et mémoire au bout de 10 ans


NEW YORK (AFP) - Un pompier de l'Etat de New York grièvement blessé à la tête il y a près de dix ans, a soudainement retrouvé l'usage de la parole et la mémoire, se réveillant avec le sentiment d'être parti la veille, à la stupéfaction de ses proches et du corps médical.
Donald Herbert, 44 ans, était dans un état semi-végétatif depuis décembre 1995, privé notamment de la vue et de la parole, confiné dans un fauteuil roulant, après avoir vu s'effondrer sur lui le toit d'un bâtiment en feu, à Buffalo, et être alors resté plusieurs minutes sans oxygène.

Samedi il a soudain retrouvé les mots et la mémoire, communiquant avec une certaine clarté pendant 14 heures de suite avec ses proches, avant de s'endormir aux aurores dimanche. "Je veux parler à mon épouse", ont été parmi ses premières paroles au personnel de l'établissement médicalisé où il vit depuis sept ans.

"Quand Don a parlé, il avait l'impression d'être parti seulement trois mois, il a été très surpris d'apprendre que cela faisait neuf ans et demi", a expliqué son épouse, Linda, mercredi lors d'une conférence de presse.

"Mon fils Nicholas, qui avait juste 4 ans lors de l'accident, est heureux de voir son père l'appeler par son prénom, l'embrasser et lui parler. Au début, mon mari ne pensait pas qu'il s'agissait de Nicholas, il pensait que Nicholas avait toujours trois ans", a raconté cette mère de quatre enfants.

Le médecin du pompier, Jamil Ahmed, a indiqué avoir changé la combinaison de médicaments neurostimulants de son patient il y a trois mois, mais il s'est dit "très surpris" de son réveil soudain.

"J'ai été tellement surpris: non seulement il parlait, mais il parlait de manière sensée et reconnaissait les gens", a-t-il dit, alors que le cas suscite l'interrogation des experts médicaux et a attiré des flots de journalistes dans la petite banlieue de Buffalo.

Le docteur Ahmed a insisté sur l'acharnement de Linda Herbert à tenter de nouvelles combinaisons médicamenteuses, sa détermination à voir son mari se rétablir.

"Sa femme n'a jamais renoncé, même si cela faisait longtemps, même si beaucoup de gens lui disaient qu'il n'y avait pas d'espoir et qu'il ne paraissait pas y avoir d'évolution possible parce que cela faisait déjà trop longtemps", a-t-il dit.

Les suites étaient dans l'immédiat difficiles à prévoir, alors que depuis dimanche Donald Herbert semble montrer un peu moins de lucidité que lors de son réveil.

"Don a fait des progrès mais il reste beaucoup de chemin à faire," a dit son épouse.

"Ce samedi, quand Don a commencé à parler, il a eu plusieurs moments, fréquents, de lucidité, ce qui nous a donné beaucoup d'espoir en une récupération future. Bien que les périodes de lucidité suivantes n'aient pas été de la même qualité que celles de samedi, elles sont restées d'un degré supérieur à avant samedi", a-t-elle ajouté.

Le médecin est, de la même manière, resté prudent. "Nous espérons, et avec l'aide de Dieu, il progressera. Il se peut que son état fluctue, mais à la manière dont il s'est réveillé, nous espérons qu'il progressera", a-t-il dit.

Jeudi 5 mai 2005, 13h42

Le baccalauréat ou la prison...

SAINT-QUENTIN (AFP) - Un lycéen de 20 ans a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel de Saint-Quentin (Aisne) à cinq mois de prison ferme pour une affaire de drogue, mais pourrait ne pas être incarcéré s'il réussit son baccalauréat, a-t-on appris jeudi auprès de son avocat.
Lycéen à Roubaix (Nord) en terminale technique mais domicilié à Saint-Quentin, le jeune homme avait été interpellé samedi en gare de Haute-Picardie, entre Amiens et Saint-Quentin, en possession de 400 g de résine de cannabis, a expliqué à l'AFP Me Abderrazek Khelfat.

Jugé en comparution immédiate mercredi, le jeune homme, qui n'a pas d'antécédent judiciaire et a été "entraîné par d'autres dans une histoire qui le dépassait totalement", selon Me Khelfat, a expliqué qu'il n'était pas dealer mais voulait faire "un coup" occasionnel.

Une explication qui n'a pas convaincu le tribunal qui l'a condamné à cinq mois ferme et à une amende de 1.500 euros.

Le tribunal a toutefois accédé à la demande de l'avocat de surseoir à l'incarcération et de le laisser passer son baccalauréat.

Au vu du résultat du bac, le juge d'application des peines devrait donc décider le 15 juillet s'il aménage la peine en travaux d'intérêt général ou s'il la maintient.

Me Khelfat a salué la décision du tribunal, qui a pris "une sanction avec intelligence". "Il y a bien sûr une dette de réparation, il faut punir, mais il y a aussi une dette de réhabilitation. C'est une démarche pédagogique et je suis certain qu'il (le lycéen, ndlr) a très bien compris la leçon", a-t-il ajouté.

le mec qui va avoir la pression pour passer le bac.