Nous allons aujourd'hui plonger dans un univers si fantastique que l'on pourrait croire qu'il s'agit du monde fantasmagorique du rêve. Mais hélas une fois de plus, tout ce qui va être révélé ici, aussi incroyable que cela semble, n'est que l'exposé d'une stricte vérité qui du reste, est mise encore sous le boisseau par ceux-la mêmes qui auraient dû avoir la mission de nous en faire part. En effet, les médias n'arrêtent pas de nous noyer sous des flots d'informations négatives (accidents, catastrophes, guerres, génocides, crimes, agressions, viols, pollutions, arnaques, etc... ), mais dès qu'il s'agit de révélations mettant en cause notre orgueil et notre hégémonie, c'est le silence total, au plus haut niveau, alors que ces révélations elles-mêmes seraient susceptibles de créer les conditions d'unification des humains de la planète Terre, et cependant nos dirigeants eux, pour la plupart, s'ingénient à "diviser pour mieux régner" et à ériger tous les barrages physiques et psychologiques qui nous séparent.
II La genèse de l' affaire.
Nous présenterons aujourd'hui quatre volets qui posent des interrogations insolubles aux scientifiques qui ont bien voulu les étudier. (voir ensuite l'article "La Lune championne de l'orthogonalité" qui complète parfaitement ce dossier)
a) Manifestations objectives dans le Cratère Vitello.
En Août 1967, la sonde américaine "Lunar orbiter V" a photographié (Ref. NASA 67-H-1135) à l'intérieur du cratère Vitello sur la Lune, situé à l'extrémité sud de la Mer des Humeurs et diamétralement opposé au célèbre cratère Gassendi (ce dernier lui même étant criblé de rainures ayant des formes géométriques très étonnantes) deux pistes d'inégales longueurs laissées par deux objets ayant respectivement environ 5m et 25m de large et brillamment illuminés par le soleil, ce qui empêche notablement d'en voir, en détail les contours . Le site ci-dessous, découvert par S. Rouat, nous a été proposé par l'internaute Julien Scordia :
http://nssdc.gsfc.nasa.gov/img(...).html
On y découvre l'image 1 ci-dessous:
En sectionnant une partie de l'image, on découvre mieux les deux mobiles:
Mais, il est cependant aisé de constater que le petit mobile qui a tracé la piste la plus longue, est sorti d'un cratère en remontant son versant intérieur pour poursuivre sa trace sur l'autre versant sur près de 700 m . Comment une masse de près de 500 tonnes a-t-elle pu quitter l'intérieur d'un cratère pour aller ensuite, sur une pente ne dépassant pas les 25 degrés, se promener sur une si longue distance en laissant un tracé aussi large qu'un chemin de servitude (environ 5m) alors que la Lune n'a aucune activité volcanique reconnue susceptible de provoquer une telle expulsion ?
D'ailleurs on constate que le fond à gauche de ce cratère est parfaitement jonché de structures blanchâtres ayant des formes géométriques remarquables surprenantes, qu'un meilleur grossissement fait par des spécialistes (ce que nous ne sommes pas) devrait mettre très bien en évidence.
Et que dire alors de l'autre mobile bien plus colossal qui est en forme de tronc de cône et flanqué d'un appendice triangulaire parfaitement centré sur son côté gauche et qui lui confère ainsi un axe de symétrie remarquable et une notoire impossibilité de rouler naturellement ?
Comment ce mobile, (dont la masse devrait s'approcher de celle de la célèbre pierre "Hadjar el Gouble" de Baalbeck présentée dans la page d'accueil de ce site) a-t-il pu donc se déplacer en laissant sur près de 500 m, une piste, de la largeur d'une route nationale ( environ 25 m) et qui présente des structures ressemblant parfaitement à des empreintes de chenilles?
Notons l'explication pour ce cas de la revue Science et vie de Mars 1968 N° 606 page 71 : "Un gros bloc vient de débouler creusant un long sillon. Providentiellement un lunar Orbiter V a pu le photographier".
Voilà une information très fantaisiste, qui a pour but , selon nous bien sûr, de "noyer le poisson", car comment peut-on prouver que ce bloc gigantesque "a glissé" juste au moment où la sonde passait (les mots "vient de débouler" sont bien écrits) ? A-t-on surpris un nuage de poussière ? Il n'y a pas d'atmosphère dit-on sur la Lune pour le tenir en suspension. Il y avait certainement des dizaines d'années ou plus que ce bloc avait bougé ? Et pourquoi la revue n'a-t-elle pas jugé bon de montrer l'autre mobile, juste à côté, sorti d'un autre petit cratère? Évidemment les deux mobiles ne pouvaient pas avoir "déboulé" en même temps de deux endroits différents...! et il était bien préférable alors de n'en montrer qu'un seul. Voir l'image 2 ci-dessous:
page originale de cette enquete toujours chez fred idylle
http://perso.wanadoo.fr/fidyll(...).html