Aujourd'hui étant son anniversaire, une citation attribuée à Malcolm Young : « Nous faisons ce que nous faisons, nous jouons ce que nous jouons, et ce que disent les médias n'a pas d'importance. »
Disons qu'on pourrait faire le rapprochement du suicide dans le final de la Soupe aux choux.
Non non, c'est un autre... Ca ne te rappelle rien un bouquin avec 3 ou 4 copains qui s'enferment dans une cave à vin pour picoler jusqu'à la mort? Je suis sûr que c'est de lui, mais le titre ne me revient pas. Je vais aller faire un tour sur wikipedia, sinon ça va me poursuivre toute la journée
C'est lequel alors? J'en ai lu plusieurs vers la vingtaine, ça fait 15 ans maintenant, je dois les confondre. C'est pour ça que je cherche à les racheter, ça fait longtemps que je voudrais relire tout ce que je peux de Fallet, je n'ai plus que la Soupe aux choux à la maison et encore, je ne suis même pas sûr qu'il y soit toujours, quelqu'un l'a peut-être embarqué.
Vous me donnez un canton peuplé de quelques milliers d’individus neutres, indéterminés. Mon rôle, c’est de les déterminer, de les amener à l’existence médicale. Je les mets au lit, et je regarde ce qui va pouvoir en sortir ; un tuberculeux, un névropathe, un artérioscléreux, ce qu’on voudra, mais quelqu’un, bon Dieu ! quelqu’un. Rien ne m’agace comme cet être ni chair ni poisson que vous appelez un homme bien portant.
Un extrait de Départ, une des Stèles de Victor Segalen. Je l'ai affiché pendant des années sur la porte de mon bureau.
Là, l'Occident miraculeux, plein de montagnes au-dessus des nuages ; avec ses palais volants, ses temples légers, ses tours que le vent promène.
Tout est prodige et tout inattendu : le confus s'agite : la Reine aux désirs changeants tient sa cour. Nul être de raison jamais ne s'y aventure.
Un extrait de Départ, une des Stèles de Victor Segalen. Je l'ai affiché pendant des années sur la porte de mon bureau.
Là, l'Occident miraculeux, plein de montagnes au-dessus des nuages ; avec ses palais volants, ses temples légers, ses tours que le vent promène.
Tout est prodige et tout inattendu : le confus s'agite : la Reine aux désirs changeants tient sa cour. Nul être de raison jamais ne s'y aventure.
Les filles, nues, dansent sur des petits boudins dorés, la malicieuse pipistrelle pousse de joyeux petits cris d'écholocalisation. Les toits des demeures s'inclinent à l'infini en une flasque plénitude.
S'il reste un peu de place sur ta porte, c'est cadeau.
Modérateur en grève. Vous pouvez déconner plein pot, je ne bougerai pas le petit doigt.