Cherche à travailler dans un label de musique

Bonjour à tous,

Je vais bientôt changer de job et ma passion, comme beaucoup de monde ici, c'est la musique.

Je suis de la région parisienne et je cherche à tout prix à travailler pour un label. Je suis plus que motivé.

Si vous avez des pistons ou autres, je serais vivement intéréssé.

J'ai 23 ans et à un niveau bac+5 en commerce (marketing, management...).


Merci beaucoup d'avance,

Musicalement.

Ce n'est pas personnel hein, mais voilà le fléau des boites de disques, il n'y a que des marketteux qui travaillent là dedans aujourd'hui.

Tu vas te faire chier, j'ai connu un mec qui a fait exactement ce que tu voulais faire, il développait Jennifer et Claire Keim.
Bref, rien à voir avec la musique.

Merci pour la réponse.

Je pense que j'ai besoin de faire mon expérience dans le milieu.

En fait, je cherche un travail dans le milieu musical. Quelque chose qui pourra me passionner. Je n'appellerais plus ca "travail" par la suite, j'espère.

Si vous avez des idées, pistons, si vous bossez dans ce milieu, n'hésitez pas à poster s'il vous plaît.

Merci.

Oui, guitare.

Par défaut je vais sur guitariste.com pour avoir des informations sur la guitare (infos matériels, gammes...), mais je me suis dit que dans un rassemblement de musiciens et de passionnés, je trouverais peut-être des personnes travaillant dans le milieu.

Non, mais je ne cherche pas à vivre par la guitare...

Chix, je vois ou tu veux en venir, mais il ne faut pas être forcément musicien pour travailler dans une boite de disque. C'est sur qu'en compensation, il faut avoir un sens sur-aigu de l'efficacité d'un groupe/artiste, de son potentiel, de la qualité de ce qu'on cherche, déniche, pousse au développement, et propose. Avoir une esthétique générale, des attentes, des intransigeances et une très grosse dose d'intégrité artistique.

A peu près tout ce qui manque aujourd'hui.

@ chix4free : j'ai vu que tu avais un Shure 57. J'aimerais savoir comment tu le places par rapport à ton ampli s'il te plaît. Car mes tests d'enregistrement ne sont pas top du tout avec un son saturé. Merci.

Sinon tu travailles dans le milieu ?

Commence par faire un stage, c'est comme ça que ça se passe dans le milieu (et avoir un piston bien entendu)

+1

j'ai goûté à ce metier au début des 90's , j'en suis vite revenu .
les majors, peut être pas les petits labels, se foutent completement que tu sois musicos ou pas . c'est du marketing point barre .

Si tu bosses en A&R, ouais.
Mais notre ami auteur du topic est clairement axé marketing, et dans ce cas là ils en ont rien à foutre des gouts musicaux et de l'esthétique, tant que tu as les qualifications et les diplômes.

Oui, mais le problème c'est que depuis le milieu des années 80, les boites virent les A&R de tradition pour foutre en lieu et place des marketteux, qui s'intéressent certes un peu à la musique, mais conçoivent leurs artistes comme des produits et - beurp's dans le texte - privilégient les retours sur investissement. Il y a des exceptions, mais l'époque du A&R qui ressemble aux artistes qu'il signe (la fameuse histoire de Steve Albini), c'est plus vraiment le cas.

fabh a tout dit.
Tu peux chercher du côté de l'irma si tu cherches des plans stages.

Après si tu veux bosser dans la musique, y a pas que les labels.
T'as d'autres structures genre celle qui appartiennent au spectacle vivant.

Sinon les labels faut voir.
Majors ? Indé (et encore la aussi t'as les gros labels indé genre because, pias, wagram, believe, etc... et les développeurs d'artistes) ?
D'autant plus que la plupart des labels sont en train de se fragmenter en fonctions de leurs activités.

Sinon jdis pas ça pour te sécher, mais sache le.
De toute façon tu vas être payé une misère pour des projets plus ou moins interessant.
Perso de ce point de vue la j'ai de la chance, mais ca a aussi des grosses contreparties que j'arrive a bien compenser.

Fais une téléréalité,nique une pouff, puis sort une ligne de vetement à ton nom.

Ce programme me semble le plus à même d'avoir le succès escompté....

En plus la situation actuelle n'est pas facile pour l'industrie du disque en général, surtout les vrais indés (pas ceux soutenus par telle ou telle major) : je pense par exemple à Bella Union. Il a été fondé par quelqu'un qui a pourtant une certaine audience, pas mal de groupes signés et indiscutablement une certaine honnêteté à savoir Simon Raymonde, ancien bassiste des Cocteau Twins. Raymonde révélait récemment que bien que patron de B.U., il ne gagne que le SMIC (comme qui dirait). Quant aux gros labels, ils ont licencié un paquet de monde ces dix dernières années et j'en connais.