Avec les anciennes Big Boxes de Simon Keith, il y avait plus de place pour les gaver de gluons et de matière noire !
Il restait même un peu d'espace pour quelques gouttes d’ambroisie et certains fruits des Hespérides, en virant un peu d’électronique, laquelle ne sert pas à grand chose quand il s’agit de tutoyer les Olympiens...
Cela réduisait le frotti et augmentait le tutti ...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.