Earthworm Jim a écrit :
J. a écrit :
Earthworm Jim, ça te dérangerait si je quote ton dernier post en page 1 ?
Est-ce qu'on peut
grossièrement généraliser ces caractéristiques à l'ensemble des compresseurs optiques vis-à-vis de leurs confrères, ou y en a-t-il qui risquent de déroger complètement à la règle ?
pas de souci.
oui on peut généraliser en ce qui concerne le principe de la compression. la cellule photo-sensible d'un compresseur optique ne reagit pas de manière aussi "vive" que des compresseur classique a diode ou a AOP, c'est inhérent a la technologie que ce soit a l'attaque ou au relachement.
cela dit, la plupart du temps sur les compresseur guitare le seuil de compression est fixe et depend du choix du constructeur. si il est bas, on aura quand même des effets de squashing avec une attaque écrasé donc et du pompage sur les fort taux de compression.
mais c'est vrai que c'est la technologie qui permettra le plus simplement de faire dans le subtil avec une coloration moins marquée.
Non la je ne suis pas d'accord, car c'est le contraire qui est valable, et c'est bien pourquoi mon propre comp est "optique"
En fait il n'y a que trois façons (réellement utilisées) de faire varier un gain automatiquement dans un compresseur au format pédale.
Le circuit intégré à transconductance (Ross / Dynacomp)
Le Fet utilisé en résistance variable, soit pour faire varier un gain, soit en diviseur de tension (diminuer le signal en entrée par exemple : Black Finger)
La photo-résistance (DOD280, les EH cités plus haut).
Un Fet a une caractéristique résistance/tension de commande extrêmement peu linéaire, ou bien dans une petite plage de tension impliquant de travailler sur des signaux faibles et donc de dégrader sévèrement le rapport signal/bruit.
De plus, intrinsèquement ils n'ont pas de temps de réponse (ou très faible) ni dans un sens ni dans l'autre, mais c'est justement leur faiblesse, car pour les faire fonctionner correctement, il faut les attaquer avec une tension de commande non seulement redressée, mais aussi parfaitement intégrée, d'où un temps de réponse important aussi bien à l'attaque qu'au relâchement.
Le problème est à peu prés le même pour les AOP à transconductance (bien qu'ils fonctionnent différemment)
A contrario; si une LDR présente un temps de réponse non-négligeable et très variable d'une référence à l'autre, ce temps est assez faible à l'attaque, et d'une longueur quasi-parfaite (en tous cas suffisant mais pas trop) au relâchement pour l'usage que l'on veut en faire en guitare.
Du coup, à condition de choisir la bonne LDR ou le bon opto-coupleur (meilleure solution) on n'a pas besoin en fait d'intégrer le signal, ou faiblement, et on peut avoir un effet bien plus transparent à moindre complexité.
Le DO280 n'est pas transparent par choix du concepteur d'intégrer fortement le signal (je pense surtout en visant un "release time" important)
"Le métal, c'est plus facile assis, : c'est une musique de salon finalement !" (bonniwell, ex-métalleux)
"Oh justement, moins on en sait, plus on est capable de réellement juger quelque chose. Je suis peut-être pas expert en art, mais j'ai deux yeux, comme tout le monde, je sais distinguer un truc moche d'un truc beau comme n'importe qui d'autre.
Si Van Gogh a passé toute sa vie pauvre et incompris, c'est parce qu'il faisait de la merde, point, il ne savait pas peindre. Des années après sa mort, des "experts" ont décidés que c'était un génie, ça ne change pas pour autant son travail." (King V expert es bon goût)
Le Gecko :
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