thieeryt a écrit :
Imaginez les proprios de Gibson quand quelqu'un leur dit:
"Mon Epiphone somme mieux qu'une Gibson, il suffisait de changer 2, 3 trucs"
ou bien :
" Les Gibson, à part la tête et le vernis... pas de quoi les vendre 6 fois plus cher"
Et celle des proprios d'Epiphone quand on leur dit
" Elles sont fabriquées Industriellement en Asie rien à voir avec du travail de luthier"
"Elle sonnent super mal, elle sont mal équilibrées et il faut les accorder toutes les 10 minutes"
"Leur accastillage est bidon"
En fait tout est très simple :
Les deux marques figurent au catalogue Gibson et occupent plusieurs segments de marché,
Serie Budget très faible : Epiphone entrée de gamme (lp100, etc...)
Serie budget serré : Epiphone ls std
Serie budget moyen : Epiphone Elitist
Serie budget conséquent : Gibson
Serie budget prestige : Gibson custom shop
Après c'est avant tout une question de pouvoir d'achat, avec théoriquement une qualité croissante. Qualité qui n'est toutefois pas forcement proportionnelle au prix de vente.
si justement. J'ai longtemps possédé une epi modifiée (micros Seymour Duncan et mécanique grover) et je la regrette car cétait une bonne guitare. Je l'ai vendu à un pote et franchement, elle a dix ans, et à part les frettes un peu usées, la guitare n'a pas bougée. Une bonne guitoune qui sonnait franchement bien. Les modifs était nécessaires car franchment, les micro épi sont tout simplement merdiques. Par contre, je possède une VRAIS Les paul standard, et là, ce n'est plus le même monde. On sait tou de suite qu'il s'agit d'une graznde guitare: prise ne mains, confort de jeu, sensibilité au jeu, aux attaques, précision du son, electronique, sons, homogénéité et reponses au jeu, dans tout ces domaines, la Gibson joue dans une autre catégorie. L'épiphone, tout en étant une bonne guitare, est une guitare qui ne vise pas le même marché. la gibson (je parle de la standard ou de la classic) est une guitare haut de gamme, et ça se paye, même si malheureusement l'inflation à doublé son prix en dix ans, comme pratiquement tout produit d'ailleurs, ce qu'on a tendance à oublié aussi.
je ne suis ni pour, ni contre, bien au contraire...