Sprint25 a écrit :
A vide elle sonne déjà bien, ce qui est en général bon signe. :-)
Le micro aigue est très pêchu pour un simple bobinage. On peut même lui mettre une bonne grosse disto dessus et il encaisse en restant précis tout en conservant ce tranchant typique du simple.
La position centrale avec les 2 micros est juste une merveille en son clair. ET avec une Tube Screamer tu obtiens un son blues avec les médiums creusés très agréable.
La position manche sur le P90 est chaleureuse et moelleuse. En son clean c'est vraiment super expressif et doux à l'oreille avec une grosse autorité à l'attaque. En son crunch tu obtiens facilement des sonorités à la Santana. En disto type Lead c'est facile à jouer et précis.
La touche ébène joue grandement je pense sur la précision de cette guitare.
Demain je te ferai une photo de la tête si tu veux ;-)
Y-a-t-il des parties de la guitare que tu veux en détail sur les photos ?
Merci beaucoup
Sprint pour tes deux retours : précis, concis et circonstanciés.
Chap, chapeau !
Le problème c'est que ça donne envie.
Pour les photos ? Je ne sais pas. La tête, le dessus, côté marque, et le manche.
Je suppose que ce dernier c'est un quartersawn ?
Le frettage paraissait assez haut sur les photos que j'ai pu voir...
Enfin, tout ce qui te semble utile dans la limite qu'on peut s'imposer pour pas trop envahir le topic.
Ou alors, MP, ce qui serait peut–être dommage au cas où cela intéresserait quelques–uns d'entre nous qui suivent ce fil.
Hein,
lililou2b ?
OK pour ce que tu dis des micros et de la position centrale.
Mais quand on bascule directement du bridge sur le neck (surtout dans ce sens–là, mais aussi vice–versa...), ça ne crée pas un trop grand déséquilibre entre les niveaux de sortie respectifs des deux micros, vu la pêche du bridge que tu soulignes ?
Après, ce déséquilibre peut être également utile et intéressant, c'est vrai.
Le vernis c'est un nitrocellulosique ? Je ne me rappelle pas l'avoir lu...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.