jobilerelou a écrit :
merci pour riffraff on c bien amuse...
Le fait de la detuner cette chanson de Nirvana les cordes sont un peu detendues..les cordes sont trop molles voir l'intro D'edouard...ca a fait un super beau BOING.....
il n'y a pas vraiment de version de Smells gravée dans le marbre. Mais de T.Amos à Patti Smith, sans oublier Kurt, il y a eu des propositions très brillantes, voir intelligentes du titre. Et on ne peut pas les ignorer.
je ne sais pas , si c'est le contexte grand show avec tableau dansé. Mais j'ai trouvé la présentation de l'ensemble très déséquilibrée. D'habitude c'est la partie vocale ,qui est très musicale, et qui lie le tout.
Là, les défaillances du chanteur sont ce qu'elles sont, en retard voir inexistant musicalement pendant toute la chanson. Mais à aucun instant on a l'impression que l'amalgame entre le chant et les instruments puisse se créer. Si bien qu'on a constament l'impression que c'est trop. Ca hurle là où il ne devrait y avoir que du volume. Et les effets paraissent trop gratuits. Ok! je préfère la mesure à la quantité.
Un exemple simple, sur les "yeah" du chanteur, le son n'est jamais en soutien. Ce n'était peut-être pas possible au vu des trous dans les paroles. Mais le son orchestre a toujours été en contraste, voir décalé. Dans ce cas précis le son des guitares ressemble plus aux cornes d'un orchestre symphonique dans la brume, que l'accompagnement du yeah. La guitare n'est plus alors l'élément de plus qui souligne même fortement la musicalité du chant. La guitare est forte sans plus. Dans la chanson, il ne faut pas perdre de vue que le "Yeah" suit "My libido". Le son accompagnant les paroles prend alors un sens non contournable. Pourquoi perdre ce sens ?
C'est ce trop, trop présent qui m'a fortement gêné.
J'ai beaucoup aimé votre participation au titre de Jason Mraz