Voilà ce que je me suis acheté la semaine dernière (en général c'est par coups de 4 ou 5 cds, et un peu trop souvent je trouve
):
-Rebel Yell de Billy Idol:
Toujours dans ma quête stevensienne (lancée grâce aux précieux conseils de glam et biloute
). Après m'être procuré les albums solo je passe au père Billy. En commençant par cet album, pour le titre éponyme que j'adore, mais aussi pour les deux énooormes tubes que sont Eyes Without A Face et Flesh For Fantasy.
-Book Of Shadows de Zakk Wylde:
...que j'avais sur une vieille cassette
. Album purement sublime, il précède la période Black Label. Ceux qui ne connaissent que le Wylde barbu, gavé de bière et accordé en do seront surpris. Presque entièrement acoustique, tous les titres sont des perles de mélodie, sombres et souvent mélancoliques. La voix de Zakk est, je trouve, fantastique, et dégage une réelle émotion. Je ne vous parle pas des soli, le toucher du monsieur est inimitable, leur énergie et le son disto si particulier font contraste avec le reste. C'est tout simplement... beau. Mention spéciale au dernier morceau, I Thank You Child, qui peut tirer les larmes. CD bonus dispensable selon moi. Voilà j'ai été long mais c'est pour que vous l'achetiez, ça en vaut vraiment le coup
.
-Is There Love In Space de Satriani:
Déception
. Le premier titre est de loin le meilleur (tu m'étonnes...). Pour le reste, absolument aucune surprise si ce n'est Searching qui se veut expérimental et... très long (10min, c'est pas tellement mais on dirait qu'il en dure 45!!!) pour ne retenir qu'une sublime petite phrase à la whammy.
-An Ephemeral World de Rondat:
Déception... again
. Contrairement au satch, je pense qu'il faut du temps pour rentrer dedans mais... où sont les belles mélodies qui caractérisaient notre frenchie??? J'ai trop aimé les précédents, et surtout Amphibia, pour me satisfaire de ce condensé de breaks qui semble vouloir satisfaire la demande en prog abusif et démonstratif. On dirait du mauvais dream theater instrumental. Je n'ai même pas aimé le fameux Bach de conclusion. Seul le message de Patrick dans le livret me force à garder des réserves sur mon jugement. Je vais le laisser un peu mûrir, qui sait...
Bon, j'y retourne demain
.