Le meilleur guitariste rythmique??

Rappel du dernier message de la page précédente :
rapideyemove
David Watts a écrit :
Tu as inversé l'origine des deux derniers titres postés. Pour être tout à fait exact, "Morning Comes" est un des titres de l'album "Here Before" de 2011, et "Gone, gone, gone" est de 2017, album que je suis d'ailleurs en train de découvrir sur Spotify.

(...)




Tu as bien entendu raison.
Je viens de me rendre compte de mon erreur et ne l’ai pas corrigée dans mon post précédent à seule fin de boire à l’an la coupe jusqu’à la lie et l’hallali .
J’avais regardé les notices TuTube au lieu de m’en remettre aux notices des disques que je n’avais pas à côté de moi,
à ce moment.
Cé pa mât l’un, cé m’aime bats l’eau.

Par-delà la carrière et les tribulations de Wake Ooloo (avec ou sans GM, trois albums et un EP, quand même), Glen Mercer a sorti deux albums sous son propre nom, Wheels in motion (2007) avec les anciens des Feelies (Demeski, Weckerman, De Nunzio, Fier et Brenda Sauter à la basse, à l’exception notable du grand contrepoint rythmique de Mercer, Bill Million qui reste, pour moi, au fondement de l’esprit des Feelies) ; enfin Incidental Hum (2015), que je ne connais pas mais qui est, semble-t-il, un projet solo total de Glen Mercer où il jouerait de tous les instruments.

Sans rien dire des alter-ego bands comme The Trypes, Yung Wu ou The Willies (nom sous lequel les Feelies apparaissent dans un film de Jonathan Demme).
On s’y perd, et vite .
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
bzhyoyo
David Watts a écrit :

Je ne connaissais pas cette version là de la chanson grandiose du VU.
Elle fait la part belle à l'orgue. La guitare, quant à elle, invoque l'esprit de Bo Diddley...


la meilleure version selon moi, bien supérieure à celle de l'album. Et la comparaison avec Bo Diddley est très juste. Et puisqu'on parle de rythmique à la guitare, le gazier a tout de même donné son nom à un rythme, ça mérite quand même d'être mentionné dans ce topic.

Et merci pour les liens de Feelies, groupe que je connais assez peu (même si le nom revient toujours quand on parle des héritiers du VU).
En tout cas, ça m'a amené à réécouter du Jonathan Richman, ce performer live hors norme.
rapideyemove
bzhyoyo a écrit :
(...) Et merci pour les liens de Feelies, groupe que je connais assez peu (même si le nom revient toujours quand on parle des héritiers du VU).
En tout cas, ça m'a amené à réécouter du Jonathan Richman, ce performer live hors norme.




Tiens, pour Jonathan Richman, Roadrunner, le 1° titre du 1° album pour entendre à nouveau, ou faire découvrir à ceux qui n’en auraient jamais entendu parler, comment le gamin de la banlieue de Boston envoyait sonner et valser rythme, cadence et attitude, il y a presque cinquante ans, avec les trois autres mômes des Modern Lovers, Jerry Harrison (futur Talking Heads), David Robinson (futur The Cars) et Ernie Brooks (juste après avec Elliott Murphy, puis avec tellement de monde que...).



De toute façon, il y a tellement de perles alignées, pour notre sujet bien précis, qu’il faudrait, ici, poster la totalité de ce premier disque publié en 1976, je crois, soit deux ans après la dissolution du groupe.
Allez, aussitôt dit aussitôt fait...



Puis, dans la foulée, cette œuvre iconoclaste de John Felice (le fondateur des Modern Lovers d’origine avec Jonathan Richman), en 1977, avec ses Real Kids et leur version bostonienne des charmes de Kingston...



«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.

En ce moment sur groupes / artistes pros...