Il me semble que Steve Khan jouait parfois de l'acoustique sur
The Nightfly ; peut-être aussi justement sur
"The Goodbye Look" ?
En guitare, on y retrouvait également, ça et là, sur l'album, Rick Derringer, le méconnu.
Zorzi a écrit :
Remarque j'ai le doute maintenant car Carlton a joué dans cet album de lumière. Je pensais plutôt à Dean Parks pour ce morceau-là. C'est plus son style, beau son clean… C'est un guitariste des plus délicieux. Tu peux pas savoir le plaisir que j'ai à savoir que tu apprécies The Nightfly.
Un album majeur, avec une résistance, ou une endurance pareillement exemplaires.
Dans cet ordre d'idées et d'inspirations, j'ai parfois aussi Boz Scaggs ou l'excellent Van Dyke Parks qui me trottent dans la mémoire et les oreilles, voire Tom Waits encore plus loin, en 1974, avec sans doute une des plus poignantes chansons d'amour qui soit,
"San Diego Serenade", avec notamment ces vers au lyrisme cru et rare :
"I never saw the east coast 'til I move to the west,
I never saw the moonlight until it shone off your breast,
I never saw your heart 'til someone tried to steal, tried to steal it away,
I never saw your tears until they rolled down your face."...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.