Alors voilà, je suppose que nous avons tous une sorte de Panthéon dans lequel nous gardons des chansons, thèmes, morceaux, que nous chérissons ...
pour ma part, j'ai une tendresse particulière pour le morceau de Chaplin Smile, et ce depuis ma tendre enfance quand j'ai découvert le film les temps modernes.
Le plaisir que j'éprouve à réécouter ce splendide thème est sans cesse renouvelé ... Et je suis autant touché par diverses reprises, dont celles-ci :
Un des trucs auxquels je reviens toujours depuis heu... 1985... je l'ai posté tout à l'heure, en face : les quatre derniers lieders de Richard Strauss, chantés par Elisabeth Schwarzkopf - avec Szell comme avec Ackermann (Karajan c'est autre chose - je l'écoute quand j'ai un train à prendre )
Otto Ackermann
George Szell
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'
chouette sujet !
Définitivement, pour toutes les occasions, quand j'en ai marre des cons, quand j'ai entendu Clara Lucciani à la radio : j'équilibre...
Cherchez pas, je me suis pris ça en pleine tronche au hasard d'une écoute chez California Music à sa sortie (j'avais 13 ans), ça m'a à l'époque marqué comme rien d'autre, et c'est resté depuis
Pour ma part, ces 2 chansons m'ont toujours impressionné, les paroles émouvantes et la musique aussi dailleurs, pourtant j'écoute de tout de Pantera à Joe Pass.
@ Marechalo et Sola : je suis également très fan de la chanson française, notamment des artistes que vous avez cités ; d'ailleurs, j'ai beaucoup de plaisir à reprendre (très modestement) certaines de leurs chansons.
En fait, quand une chanson me touche, j'ai souvent envie de la jouer et d'en faire quelque chose de personnel, manière de me l'approprier.
J'ai un faible pour Charles Trenet et en particulier pour cette chanson, découverte (encore ) dans un de mes films ... de chevet :
Ca me fait bien plaisir de voir Jacky Terrasson cité ici.
Je l'ai vu 2 fois en concert dont 1 duo avec Stéphane Belmondo justement. J'ai moins apprécié ce dernier lors de cette prestation en raison d'un sentiment mitigé de léger mépris, aviné, envers le public modeste que nous formions. Disons que ça contrastait avec le Stéphane Belmondo que j'ai vu moins décontracté, plus humble 10 ans auparavant sur la scène du festival de Jazz à Sète.
Certains de ses albums comme Reach me propulsent vers une forme de démence douce-amère, que l'on peut qualifier de mélancolie.
Que reste t'il de nos amours est subtile et je vous conseille chaleureusement l'album qui va avec: À Paris.
Vous pourriez y trouver d'autres titres de chevet.
Ca me fait bien plaisir de voir Jacky Terrasson cité ici (...)
Que reste t'il de nos amours est subtile et je vous conseille chaleureusement l'album qui va avec: À Paris.
Je plussoie : cet album renferme des pépites, dont celle-ci :