[Jeu] Annonces farfelues ou cherchez l'erreur !!!

Rappel du dernier message de la page précédente :
Adam Bopel
Je serais curieux de voir la bagnole du vendeur (volant, dés qui pendouillent du rétro, sièges ...)
LaGriffe
Les Harley Benton d'occase plus chères ou presque que le prix du neuf.
#FreeAlexlalachant
rapideyemove
Oz66 a écrit :
Doc Loco a écrit :
Les bras m'en tombent

https://www.2ememain.be/musiqu(...).html


Dans l'esprit ZZ Top


Ou dans celui du P–Funk (Bootsy Collins, Eddie Hazel... et les autres).
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
tiep
  • tiep
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Cest peut être la peau de son chat.... c'est un sentimental ce gars la
megatiep
Silverfox
Les hivers sont rudes par là bas !
New Old Stock member :-)
Adam Bopel
Silverfox a écrit :
Les hivers sont rudes par là bas !

Le vendeur est belge, non ?
S'il était espagnol, j'oserais dire "Les Ibères sont rudes ..."
cliclac
  • cliclac
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les micros étaient un peu froid il a voulu réchauffer tout ça, faudrait des samples pour voir si ça marche
Zeman
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La guitare à Jacky Moumoute !
rapideyemove
Adam Bopel a écrit :
S'il était espagnol, j'oserais dire "Les Ibères sont rudes ..."

"... mais savent rester fiers", comme l'homme de la pampa, parfois rude, reste toujours courtois.

«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
Adam Bopel
Ce cher Michel ...
Pour rester chez nos voisins Ibères, “Que ce soit la révolution ou la paëlla, rien de ce qui est espagnol n'est simple.”
rapideyemove
Adam Bopel a écrit :
Ce cher Michel ...
Pour rester chez nos voisins Ibères, “Que ce soit la révolution ou la paëlla, rien de ce qui est espagnol n'est simple.”







Presque plus Antoine que Michel.
Antoine qui écrivait, par ailleurs, dans son roman du Singe en Hiver où la plupart des "mots" du film se trouvent en fait déjà (ce qui explique que le Michel n’eut, le plus souvent, qu’à lire et répéter ce que l’Antoine avait écrit auparavant) :

«Moi, qui ai d'habitude le goût de tout livrer aux êtres pour les apprivoiser, de vivre sur le seuil de moi-même, trouvant qu'il fait souvent trop sombre à l'intérieur (...)»

Et, souvent mal connu, ce bel apologue pour le titre et toute l’histoire que l’Antoine glissait dans son roman :

"Aux Indes, ou en Chine, quand arrivent les premiers froids, on trouve un peu partout des petits singes égarés là où ils n’ont rien à faire. Ils sont arrivés là par curiosité, par peur ou par dégoût. Alors, comme les habitants croient que même les singes ont une âme, ils donnent de l’argent pour qu’on les ramène dans leurs forêts natales où ils ont leurs habitudes et leurs amis. Et des trains remplis d’animaux remontent vers la jungle."
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
Raphc
  • Raphc
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rapideyemove a écrit :
Adam Bopel a écrit :
S'il était espagnol, j'oserais dire "Les Ibères sont rudes ..."

"... mais savent rester fiers", comme l'homme de la pampa, parfois rude, reste toujours courtois.



Goscinny pour le premier je crois.

Pour le Singe en Hiver, chose rare le livre est aussi merveilleux que le film.
Leozinho
Raphc a écrit :
rapideyemove a écrit :
Adam Bopel a écrit :
S'il était espagnol, j'oserais dire "Les Ibères sont rudes ..."

"... mais savent rester fiers", comme l'homme de la pampa, parfois rude, reste toujours courtois.



Goscinny pour le premier je crois.

Pour le Singe en Hiver, chose rare le livre est aussi merveilleux que le film.


Oui, mais rendonzacésar : "l'homme..." c'est dans "les tontons flingueurs", voyons...
rapideyemove
Ah que coucou, ah que oui !
Pas de confusion.
Autrement, j’en connais qui vont se dire encore, devant les ennuis : «On ne devrait jamais quitter Montauban !»
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.

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