La déception passe encore : elle est constitutive de l'acte d'apprendre et du désir qui doit le porter, par nécessité.
Mais la douleur ?
Pourquoi ?
Si on part avec l'a priori de la douleur...le chemin risque d'être court, en effet.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.