Images à la con

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Algone
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tellement vrai
« Donc communiquez clairement ce que vous essayez de faire en science, et qui sait, vous pourriez même finir par comprendre vous-même ce que vous faites. »
Blow Up
manulonch a écrit :
Dommage pour eux, ils n'ont pas de pétrole
Ils auraient très vite été démocratisés !





Pourtant la Corée du Nord est un des pays avec les ressources minières les plus convoitées actuellement, dont l'exploitation pourrait rapporter autant et même voire plus que le pétrole (métaux rares et minéraux utilisés dans les composants qui entrent notamment dans la fabrication des trucs tactiles, téléphone, informatique, nouvelles technologies etc... ).
Pour le moment, c'est la Chine qui en profite (sans le soutient de la Chine le régime de Pyongyang serait tombé depuis longtemps) et Poutine (enfin les oligarques russes c'est pareil) qui vient cet été d'annuler la dette de la Corée du Nord.

Sinon beaucoup plus grave que la géo-stratégie anti-empire a deux balles.

"Macron est de gauche" BluesBarbu le 20/02/2021
rapideyemove
manulonch a écrit :
Dommage pour eux, ils n'ont pas de pétrole
Ils auraient très vite été démocratisés !



Qui ça ?

Les Savoyards de Pyongyang ???



Cela dit, pas trop d'embouteillages, là–bas, sur l'autoroute des sports d'hiver...

«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
SharkFood
rapideyemove a écrit :

Les Savoyards de Pyongyang ???


Hé oh...
La modération vous a bloqué sur ce sujet pour non respect de la charte du forum.
Nous vous remercions de votre compréhension.
L'équipe de modération de Guitariste.com.
rapideyemove
SharkFood a écrit :
rapideyemove a écrit :

Les Savoyards de Pyongyang ???


Hé oh...



Oui,oui,oui.
Mais avoue que la photo est vraiment mimi, pleine d'analogies météorologiques.
Bref, le nez sur l'actualité.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
Doc Loco
grosson a écrit :

Cela me fait penser au "Dormeur du Val"


Oui, je vois exactement ce que tu veux dire.
In rod we truss.

"Quelle opulence" - themidnighter

"It's sink or swim - shut up!"
David Watts
Le dormeur du val

C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
"Yesterday today was tomorrow and tomorrow today will be yesterday"
grosson


Je n'ai peur de personne en Massey Ferguson
Je n'reconnais plus personne en Massey Ferguson
Y a pas d'figurants, ici !
Rien qu'des vedettes !
grosson
Puisqu'on est dans le champêtre...
Y a pas d'figurants, ici !
Rien qu'des vedettes !
rapideyemove
manulonch a écrit :
moi ça me fait penser à ça





Pastorale visionnaire et magistrale !
Ça donne envie de relire Les Bucoliques, de Virgile ! ...

« Levons-nous. L'ombre nuit à ceux qui chantent. L'ombre du genévrier est aussi nuisible. Les ombres enfin nuisent aux moissons. » (X, vers 75–76)

Comme quoi dormir « dans le soleil » ou badiner « au soleil », ça se termine mal, en général !

«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.

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