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Un groupe terroriste attaque la centrale nucléaire de Cruas

L’alerte est donnée vers 17 heures. Un groupe de terroristes a réussi à passer le premier grillage de sécurité. Une dizaine d’hommes munis d’armes à feu et d’explosifs. Ni la direction d’EDF, ni le peloton spécialisé de protection de la gendarmerie (PSPG), affecté au site, ne savent, à ce moment-là, à qui ils ont affaire. Une seule certitude : la centrale est attaquée.

Dans l’heure qui suit, 35 militaires du PSPG sont à pied d’œuvre. « Ce sont des gens très aguerris qui ont subi une sélection de très haut-niveau », souligne le général de division, Jean-Patrick Ridao. Mais face à la gravité de la menace, des renforts sont appelés. Au total, 200 gendarmes sont mobilisés. C’est « la chaîne contre le terrorisme nucléaire » qui est mise en place, précise le colonel Josse, commandant du groupement de l’Ardèche.

Alors qu’un hélicoptère avec une caméra thermique survole le site, le secteur est entièrement bouclé. Les automobilistes, qui passent le long de la centrale, peuvent alors apercevoir des gyrophares et un impressionnant dispositif des forces de l’ordre. Les hommes armés ont pris des otages

Vers 21 heures, trois hélicoptères, de la gendarmerie et de l’armée de terre, arrivent au nord. Ils déposent des gendarmes du GIGN venus de Satory (région parisienne). Les militaires sont arrivés à « confiner » le groupe terroriste dans un secteur.

Mais les hommes armés, qui tiennent des otages, s’en prennent au réacteur n° 4, celui qui est situé le plus au nord sur le site. « Les points stratégiques sont tenus », précise, vers 22 heures, le préfet de l’Ardèche, Dominique Lacroix. Si les agresseurs ont réussi à couper l’alimentation, en eau et électricité, les trois barrières de sécurité n’ont pas sauté.

Avant une heure du matin, l’assaut du GIGN est réussi. Les terroristes sont appréhendés. Le personnel d’EDF s’active, lui, à assurer la sûreté complète des installations du réacteur n°4. La centrale n’est plus menacée.

l’assaut du GIGN est réussi.

Entre 5 et 7 ans de prison ont été requis aujourd'hui pour huit des quatorze accusés de viols collectifs dans des cités du Val-de-Marne, l'avocat général s'en remettant à la cour pour les six autres, ont annoncé des avocats.

Les accusés encourent théoriquement jusqu'à 20 ans de réclusion criminelle. Ils n'ont cessé de clamer leur innocence, tandis que les deux plaignantes ont été mises à rude épreuve durant les trois semaines de ce procès qui s'est tenu à huis clos à Créteil.

La Compagnie Créole sort un nouvel album avec certains de ses succès ré-enregistrés !!!!!

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... et avec des invités ... "prestigieux" !!!!

Eh bé c'est pas cher payé dis donc
Sans compter que dans 2-3 ans ils sont dehors.

Le soucis, c'est qu'en sortant, soit ils se sont endurci et progressent dans la délinquance, soit ils se sont introspectés et cherchent à se réintégrer... Je serais curieux d'avoir des statistiques là dessus

Pas cher payé non...
Mais c'est déjà un minimum, quand on pense à tous ceux qui s'en sortent sans rien.

Certainement en plus qu'ils vont en baver vu le motif d'incarcération (mais bon, j'ai peut être trop regardé Oz dans ma jeunesse ).

Pour des jeunes qui ont fait ça sans même se rendre compte qu'ils commettaient un crime ("si elles se retrouvent dans des caves, c'est qu'elles sont ok pour les tournantes", voire "si elles sortent après 20h c'est que c'est des trainées" ), ils doivent tomber de haut

A ce propos, je sais pas si ça parle à qq'un, mais on avait parlé il y a plus d'un an d'un violeur pédophile (qui avait violé des nourissons et des enfants qu'il gardait) en Ardèche (à Teil il me semble). Impossible de savoir ce qu'à donné son procès (si il a eu lieu), et ce qu'il est devenu. C'est fou comme les fait sont surmédiatisés alors que les suites (procès et peines) le sont peu...