Masha a écrit :
Oui, c'est confus mais c'est un peu le but...
Peut-être est-ce un peu moins confus redressé comme ça :
Mince et remince, je n’y vois rien dans celle d’aujourd’hui
…
Mais celle-ci, bien remise au cadre, et que je n’avais pas vue alors, sort comme souvent chez toi de
«l’universel reportage».
Et c’est heureux, très heureux.
Donc, je déterre.
Elle donne envie au spectateur badaud, sans morale, de jouer délicatement sur certains de ses équilibres, ou déséquilibres visuels, comme on le souhaite.
Mais cela ne me regarde pas.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.