cliclac a écrit :
Lao a écrit :
cliclac a écrit :
c'est plutôt l’éducation qui est un problème, lis l'article
Citation:
Trente ans d'erreurs éducatives
C'est ce qu'avance la philosophe Catherine Kintzler, spécialiste de l'éducation et de la laïcité, qui lit dans ce sondage la conséquence d'une « sacralisation du convictionnel » entretenue par des décennies de techniques éducatives basées sur la valorisation de l'enfant. «
On nous explique à longueur de débats que l'opinion, la croyance sont une partie essentielle de l'individu, constitutive de sa conscience. De la même manière que les élèves ne distinguent plus les espaces privé, social, ou public au sens juridique du terme (l'école, les tribunaux, etc.), ils ne font plus la distinction entre la croyance ou l'opinion, et les personnes qui y adhèrent »,
finalement c'est comme sur certains topics de backstage
Mais c'est qui ce "
on" ?
t'as qu'a lire l'article tu auras peut être une idée, mais en vrac je verrai les théoriciens de l’éducation nationale, les médias qui expliquent aux parents bien pensants comment avoir des gosses épanouis, j’arrête là ma liste de suspects ça ferait polémique
C'est clair les enfants d'aujourd'hui c'est n'importe quoi. C'est typique de notre génération...
« Les jeunes d’aujourd’hui aiment le luxe, méprisent l’autorité et bavardent au lieu de travailler. Ils ne se lèvent plus lorsqu’un adulte pénètre dans la pièce où ils se trouvent. Ils contredisent leurs parents, plastronnent en société, se hâtent à table d’engloutir les desserts, croisent les jambes et tyrannisent leurs maîtres. Nos jeunes aiment le luxe, ont de mauvaises manières, se moquent de l’autorité et n’ont aucun respect pour l’âge. À notre époque, les enfants sont des tyrans. »
Socrate, 470-399 av. J.C.
«
Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles,
lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque les jeunes méprisent les lois, parce qu’ils ne reconnaissent plus, au-dessus d’eux, l’autorité de rien et de personne, alors, c’est là, en toute beauté et toute jeunesse, le début de la tyrannie. »
Platon, vers 427
– 348/347 av. J.C.