Gzii a écrit :
Même quand on joue des mélodies, les accords ne sont pas loin derrière.
(...)
Et vice-versa.
C’est effectivement une
«base essentielle» .
Et c’est, à l’évidence, ce que sous-entendait Jay B. d’une manière lapidaire.
Mélodie et harmonie, comprendre la notion d'intervalle...
Les premiers pas.
D’assez longs premiers pas.
Disant cela, je ne suis peut-être pas moins lapidaire.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.