Ah Ivan Lins…
Et celui-ci qui continue à me soulever de terre, à me couper la voix et à me faire les yeux moins secs :
Ou, presque à l’écart, Milton Do Nascimento, depuis les origines (Travessia ou Milagre dos Peixes) dans les tympans, jusqu’à aujourd’hui …
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.