PETER GREEN Story

Putain ce mec plus le temps passe, plus j'aime son jeu, tout en nuances, à l'économie, la parfaite maitrise des silences...

aaaaah enfin quelqu'un réagit !!!

Un petit intrumental, tiens ...

y avait les 2 membres de fleetwood mac qu'ont continué après
rappelons que john mac vie jouait aussi avec les blues breakers de clapton avant!! sacré parcours!

Pour peter, c'est la classe, le feeling !
ON voit après ça que le shred bof
et que le feeling vient du blues!
les racines

gary moore aura été son meilleur élève
vive les 2!

Pour moi, Peter Green c'est un peu le pendant britannique de John Cipollina (c'est un vrai compliment). Encore des destins tragiques tiens!

je pense qu'avec l'âge on peut aimer les guitares moins distordues et faciles et se diriger vers des sons blues à la bb king, clean ou jazz façon g benson
d'ailleurs en clean, on voit plus les erreurs qu'en saturé
c'est plus exigeant comme démarche

Peter Green nous a tous ébloui un jour où l’autre au travers d’albums fabuleux (Then play on) et sur quelques compositions exceptionnelles bien connues “black magic women “ & Albatros.
Ce fabuleux son clair perlé qui se faufile partout derrière le temps, cette pureté de toucher sans compromis, son articulation parfaite!
Grande leçon.
L’homme était fragile; la folie à trente ans, comme cadeau empoisonné, mais il a toujours continué à travailler à son rythme avec des albums solo moins géniaux mais qui contiennent toutefois quelques perles.( “in the skies”).
Dans lequel figure “last train to San Antonio”, un titre de Peter Green que j’aime particulièrement, même s’il laisse le solo à un sax peu inspiré (c’était Aussi ça Peter Green, des choix bizarres parfois sans doute liés à sa maladie)
Mais ce titre a un très beau groove je trouve.
Alors bon voyage à San Antonio Mr Green!
RIP