Happy Bithday John... We miss you, mister Lennon.

Rappel du dernier message de la page précédente :
Willow McLeod
Flysunrise a écrit :
Bah non, môsieur Lennon n'était pô un saint... Il a été élevé par sa tante mais il adulait sa mère, il séchait les cours pour faire de la musique, il se faisait virer des bars, il aimait bien picoler, se droguer et b*****... Il n'a pô toujours été tendre avec les autres membres du groupe et dans une chanson solo, il débine sur Mc Cartney alors qu'il ont énormément composé ensemble...
ça fait du bien, un homme, un vrai... Avec ses qualités mais aussi ses défauts.


Ouais puis il battait sa femme aussi..... faut pas l'oublier tout de même..
Mes compos : paysages musicaux à explorer ici
Willow McLeod
Tiens une anecdote marrante a propos de Lennon (lu dans l'anthologie des Beatles):
Cela ce passe dans la deuxieme moitié des années 60..
Suite à une prise un peu trop conséquente de LSD, Lennon se reveille un matin avec la certitude d'être la réincarnation de Jésus Christ.
Il l'annonce aux autres, qui rigolent gentiment, mais quand ils se rendent compte que Lennon est parfaitement sérieux, ils s'inquiètent quelque peu de son état mental...
Finalement au bout d'une semaine celui ci "redescend sur terre" et n'est plus tellement sûr d'être la réincarnation du Christ
Mes compos : paysages musicaux à explorer ici
Johnny Vatenguerre
Les mille facettes de John Lennon à la Cité de la musique

[ vendredi 21 octobre 2005, 09h14 - AFP ]
Il fut à la fois un "Working class hero", un musicien de génie, un apôtre de la paix et un artiste attiré par l'avant-garde : la Cité de la musique à Paris explore les mille facettes de la vie de John Lennon, à travers une exposition exceptionnelle ouverte depuis jeudi.

L'exposition "John Lennon - Unfinished Music" s'achèvera le 25 juin. Elle coïncide avec le 65e anniversaire de la naissance de l'ex-Beatle, le 9 octobre 1940 à Liverpool, et le 25e anniversaire de son assassinat, le 8 décembre 1980 à New York.

"L'idée n'était pas de présenter seulement un musicien, mais toute une ambiance, une époque, une histoire", explique Grazia Quaroni, l'une des deux commissaires de cette exposition, la troisième consacrée au rock par la Cité de la musique après Jimi Hendrix (2002) et Pink Floyd (2003).

L'exposition, qui occupe 900 m2 et bénéficie d'une scénographie remarquable, est découpée en treize séquences thématiques et chronologiques. Chaque décennie est matérialisée par une porte qui en retrace le contexte historique et social.

La partie située au sous-sol se penche sur l'enfance de Lennon et la carrière des Beatles tandis qu'un étage au-dessus, c'est son attirance pour l'art contemporain et son parcours commun avec Yoko Ono qui sont mis en évidence.

Outre son intérêt socio-historique, l'exposition prend une couleur intime et émouvante grâce à la présence de nombreux objets personnels, dont la plupart ont été prêtés par Yoko Ono. Farouche gardienne du temple, honnie par nombre de fans des Beatles qui lui reprochent d'avoir provoqué leur séparation et estiment qu'elle exploite le mythe Lennon, l'artiste d'origine japonaise s'est rendue au vernissage mercredi.

Au fil de l'exposition, on aperçoit un bulletin de classe qui souligne déjà l'esprit sarcastique et surréaliste de Lennon ("Mauvais résultats dus au fait qu'il passe son temps à inventer des remarques spirituelles"), des manuscrits de chansons ("In my life" ou "Working class hero"), son piano droit Steinway ou le costume qu'il portait pour chanter "All you need is love" avec les Beatles, lors d'une émission télévisée dans le monde entier en 1967.

Moment d'extase pour les fans, qui peuvent s'imaginer dans la peau du producteur des Beatles, George Martin, l'exposition recrée à l'identique la cabine de contrôle des studios d'Abbey Road.

La partie Beatles n'est pourtant pas la plus étoffée. L'exposition insiste davantage sur le parcours personnel, artistique et idéologique de Lennon après sa rencontre avec Yoko Ono en 1966 : reproductions d'oeuvres proches du mouvement avant-gardiste Fluxus, salle consacrée à l'album "Imagine" (1971) ou aux "bed-in" d'Amsterdam et Montréal en 1969, affiches qui rappellent son engagement (la campagne de 1969 "La guerre est finie, si vous le voulez")...

L'exposition, agrémentée de nombreux documents sonores, prend fin dans une pièce blanche consacrée au 8 décembre 1980, où est projeté le court-métrage de Raymond Depardon "Dix minutes de silence pour John Lennon".

Depardon avait filmé un rassemblement à Central Park en hommage à Lennon, une semaine après sa mort. Images troublantes que celles de ces jeunes gens qui pleurent leur idole mais aussi les utopies perdues des années 60 et 70, à l'orée des années 80, les "années fric".

("John Lennon - Unfinished Music", du 20 octobre au 25 juin. Entrée: 7 euros, 3,40 euros pour les moins de 18 ans. Renseignements: 01 44 84 44 84, www.cite-musique.fr)
© 2005 AFP
VENDS :

-Guitare IBANEZ FRETLESS S-Classic (35 exemplaires au monde !) => 1500 Euros

-Guitare DEAN Evo DOUBLE MANCHE (6 cordes – 7 cordes) => 1500 Euros

-Guitare Carlos Robelli DOUBLE MANCHE => 700 Euros

-Guitare FLIPOUT bleue => 700 Euros
Dan Electro
Allez! Un petit rappel pour mémoire.

John Winston Lennon naissait il y a 69 ans déjà, le 9 octobre 1940.

Je dépoussière donc cette discussion pour l'occasion. Je n'ai rien de très pertinent à ajouter moi-même si ce n'est toute l'admiration que j'ai pour ce personnage, et ce, malgré la biographie que je suis en train de lire du monsieur. The lives of John Lennon de Albert Goodman. Ultra-intéressante mais aussi dévastatrice sur l'image de l'une des icônes de la contre-culture des années 60 et 70.

À lire (surtout si vous n'aimez pas Yoko )

En ce 9 octobre 2009, prenez donc votre guitare et faites-vous une petite chanson de Lennon.
«I'm a really, really serious collector... I'm kind of a target when it comes to dealers. Collecting guitars is what I do instead of shooting dope!»
– Steve Earle

Doc Loco
chix4free a écrit :
Personne n'a réagi au 70ème anniversaire semble-t-il...


Perso je n'y ai pas réagi parce qu'il est tellement phagocyté par la succube et son xième plan big business que je pense que ce serait presque faire injure à la mémoire de John de marcher là-dedans (sans compter l'odeur tenace des semelles après).

Mais bon c'est moi hein, chacun fait ce qu'il veut.
In rod we truss.

"Quelle opulence" - themidnighter

"It's sink or swim - shut up!"
Timothée
Doc Loco a écrit :
chix4free a écrit :
Personne n'a réagi au 70ème anniversaire semble-t-il...


Perso je n'y ai pas réagi parce qu'il est tellement phagocyté par la succube et son xième plan big business que je pense que ce serait presque faire injure à la mémoire de John de marcher là-dedans (sans compter l'odeur tenace des semelles après).

Mais bon c'est moi hein, chacun fait ce qu'il veut.

That's the spirit....

Sinon je sais pas si ça avait été posté, un "Birthday" Très sympa avec McCartney pour les 70 ans de Ringo :
John Wood
Rien de prévu pour les 80 ans du lascar ?
gratzou
  • gratzou
  • Special Ultra utilisateur
John Wood a écrit :
Rien de prévu pour les 80 ans du lascar ?


Ben non, il vient d'appeler pour dire qu'il ne pourra malheureusement pas être là

OK, je sors...
My bands :
Carte Vermeil (covers 60's musclées) :
https://www.facebook.com/Carte(...)aires

Please Kill Me (70's punk'n'roll covers) :
https://www.facebook.com/Pleas(...)0punk

"Des hippies post-Mad Max tellement cradingues qu'on aurait dit des zadistes" (V. Despentes)
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John Wood
Ça fait 40 ans qu'il nous fait le coup !

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