ce qui gagne à être joué à la fretless, dans l'idée de se faire la main en explorant le manche, c'est les morceaux fluides et liés, justement pas comme le Queen de Dodo, là, tout syncopé ! (le morceau, hein, pas Dodo)
après, faut aussi faire gaffe de pas trop comparer fretless et contrebasse :
1) même si on aimerait y trouver un parallèle niveau son, on est bien dans deux mondes différents.
2) l'axe main droite plutôt horizontal pour l'une et plutôt vertical pour l'autre incite à une approche radicalement différente. ce quart de tour subi par le poignet génère aussi ses propres limites physiques (histoire de bien marquer la frontière entre les deux mondes sus-nommés ? )
3) le jeu à l'archet est bien plus plausible à la contre (mais bon, on s'en fout, c'est pas le sujet)
un truc aussi : travaille à tempo lent avec le souci permanent de la justesse.
"J'ai cru que tu faisais la gueule. Ou pire, que tu étais émotif."
Je suis l'un des bassistes de
PöWëR-4