bien entendu, que chacun fait comme il veut.
après, quand on a un problème de qualité de son, on peut choisir de tourner les potards à la cosaque tout en invoquant une divinité improbable : souvent, les choses empirent et la tentation est forte d'incriminer le matos.
ou bien on peut accepter d'y passer un peu de temps, voir comment les potards inter-agissent, baisser ici plutôt que de monter là, situer son son parmi celui des autres, prendre des notes au besoin (parce que la plupart du temps, la réponse n'est pas linéaire), et là, on tend vers quelque chose de plus cohérent.
au final, c'est les oreilles qui décident. mais bon, un analyseur de spectre peut aider.
les deux erreurs les plus fréquentes sans la correction desquelles rien n'est possible :
- penser qu'on peut travailler son son seul à la maison et espérer pouvoir importer directement ses réglages dans le mix.
- marcher sur les plates-bandes fréquentielles des autres, ou que d'autres marchent sur les siennes.
on entend souvent dire "untel est trop fort" alors que bien souvent c'est tout sauf une histoire de volume : une petite retouche de l'EQ ou des effets dynamiques peut s'avérer bien plus efficace.
as-tu remarqué comment le son des pubs à la télé semble plus fort que celui du programme juste avant ? pourtant, personne n'a touché au volume...
"J'ai cru que tu faisais la gueule. Ou pire, que tu étais émotif."
Je suis l'un des bassistes de
PöWëR-4